Paroles de la chanson The Mountain of Corsicana (traduction) par Kublai Khan TX
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Paroles de la chanson The Mountain of Corsicana (traduction) par Kublai Khan TX
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne
Pour te guider quand ton heure viendra
Incline-toi devant la montagne
Où le corps repose si immobile
Où aucun cœur ne bat
Alors la poitrine s'effondre
Un dernier regard sur la montagne
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne
Pour te guider quand ton heure viendra
Incline-toi devant la montagne
Où le corps repose si immobile
Où aucun cœur ne bat
Alors la poitrine s'effondre
Un dernier regard sur la montagne
Les yeux fermés
Les mains levées
Tâtonnant aveuglément vers l'issue
Regarderas-tu en arrière
Quand ton heure viendra ?
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne (pour rentrer à la maison)
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne (pour te guider)
(Tu veux partir, tu veux partir)
(Tu veux partir, tu veux partir)
Je te laisse partir, je te regarde lentement disparaître
Ce qui était autrefois chaud est maintenant glacial
Quand je t'ai trouvé (glacial)
La maladie rampait à chaque pas
Sauf que
Tu restais toujours debout
Debout, sachant que tu allais bientôt tomber
Le destin d'un homme n'est pas une erreur
Et je ne peux reprocher
La douce grâce à travers la misère
Quand mon heure viendra
Je ne peux qu'espérer être à peine la moitié de (Quand mon heure viendra)
Je ne peux qu'espérer être à peine la moitié de qui tu étais
Quand je t'ai trouvé (glacial)
La maladie rampait à chaque pas
Sauf que
Tu restais toujours debout
Debout, sachant que tu allais bientôt tomber
Le destin d'un homme n'est pas une erreur
Et je ne peux reprocher
La douce grâce à travers la misère
Quand mon heure viendra
Je ne peux qu'espérer être à peine la moitié de (Quand mon heure viendra)
Je ne peux qu'espérer être à peine la moitié de qui tu étais
Lève-toi
Quand ton heure viendra
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne (pour rentrer à la maison)
Tu veux partir, tu veux tellement partir
Ta mère appelle depuis la montagne (pour te guider)
(Tu veux partir, tu veux partir)
Ouais !
(Tu veux partir, tu veux partir)
Je te laisse partir
Je te regarde lentement disparaître
Et pourtant malgré tout
Jamais, jamais une victime
Ce qui était autrefois un homme, est maintenant une montagne.
Ce qui était autrefois un homme, est maintenant une montagne.
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