Paroles de la chanson L'orage par Jacques Brel
Paroles de la chanson L'orage par Jacques Brel
Le ciel
Le ciel est chargé
De nuages bas
La pluie va tomber
Sur nos mains, sur nos bras
Le ciel est chargé
De nuages bas
La pluie va tomber
Sur nos mains, sur nos bras
Le vent
Le vent crie de loin
Sa plainte sonore
Comme un hymne ancien
Qui pleure les morts
Le vent crie de loin
Le ciel est chargé
De nuages bas
La pluie va tomber
Sur nos mains, sur nos bras
Le ciel est chargé
De nuages bas
La pluie va tomber
Sur nos mains, sur nos bras
Le vent
Le vent crie de loin
Sa plainte sonore
Comme un hymne ancien
Qui pleure les morts
Le vent crie de loin
Sa plainte sonore
Comme un hymne ancien
Qui pleure les morts
La pluie
La pluie est jolie
La pluie qui étincelle
A comme ma mie
Un rire de crécelle
La pluie est jolie
La pluie qui étincelle
A comme ma mie
Un rire de crécelle
L’onde
C’est l’onde qui monte
Au fond des vallons
L’onde douce et blonde
Comme un hymne ancien
Qui pleure les morts
La pluie
La pluie est jolie
La pluie qui étincelle
A comme ma mie
Un rire de crécelle
La pluie est jolie
La pluie qui étincelle
A comme ma mie
Un rire de crécelle
L’onde
C’est l’onde qui monte
Au fond des vallons
L’onde douce et blonde
Odeur de moisson
C’est l’onde qui monte
Au fond des vallons
L’onde douce et blonde
Odeur de moisson
Les bêtes
Les bêtes s’enfuient
Par prés et par chemins
Les bêtes s’enfuient
Noé, tu es loin
Les bêtes s’enfuient
Par prés et par chemins
Les bêtes s’enfuient
Noé, tu es loin
Les fleurs
Les fleurs ferment leur cœur
C’est l’onde qui monte
Au fond des vallons
L’onde douce et blonde
Odeur de moisson
Les bêtes
Les bêtes s’enfuient
Par prés et par chemins
Les bêtes s’enfuient
Noé, tu es loin
Les bêtes s’enfuient
Par prés et par chemins
Les bêtes s’enfuient
Noé, tu es loin
Les fleurs
Les fleurs ferment leur cœur
Avec leurs pétales
Comme se cachent les pleurs
Dans les yeux d’une femme
Les fleurs ferment leur cœur
Avec leurs pétales
Comme se cachent les pleurs
Dans les yeux d’une femme
Les hommes
Derrière leurs tambours
De vitres polies
Cachent leurs amours
Et cachent leurs vies
Derrière leurs tambours
De vitres polies
Cachent leurs amours
Et cachent leurs vies
Comme se cachent les pleurs
Dans les yeux d’une femme
Les fleurs ferment leur cœur
Avec leurs pétales
Comme se cachent les pleurs
Dans les yeux d’une femme
Les hommes
Derrière leurs tambours
De vitres polies
Cachent leurs amours
Et cachent leurs vies
Derrière leurs tambours
De vitres polies
Cachent leurs amours
Et cachent leurs vies
J’ai peur
J’ai peur de la pluie
J’ai peur du vent
J’ai peur de la vie
J’ai peur, oh, maman
J’ai peur de la pluie
J’ai peur du vent
Et j’ai peur de la vie
Et j’ai peur, oh, maman
J’ai peur de la pluie
J’ai peur du vent
J’ai peur de la vie
J’ai peur, oh, maman
J’ai peur de la pluie
J’ai peur du vent
Et j’ai peur de la vie
Et j’ai peur, oh, maman
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