Paroles de la chanson Et la vie continue par Georges Chelon

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Paroles de la chanson Et la vie continue par Georges Chelon

Son cœur s’est arrêté de battre le tempo
L’âme de son violon a trouvé le repos
Là-bas la ville dévastée
Là-bas les jeunes assassinés
Et la vie continue comme si de rien n’était

Je viens de dire adieu à une amie lointaine
Emportée par le mal en deux trois mois à peine
Là-haut la montagne a tué
Là-bas un avion est tombé
Et la vie continue comme si de rien n’était

Pauvre, pauvre, pauvre de nous
Ridicules petits cailloux de couleurs
Pauvre, pauvre, pauvre de nous
Condamnés à vivre à genoux et en pleurs

C’est peut-être le chant d’une belle sirène
Qui l’attira un jour sur ces terres incertaines
Là-bas où la faim peut tuer
Comme ça sans qu’elle le fasse exprès
Où on laisse la mort faire ce qui lui plaît

Elle voulait sur la toile loin des rimes et des mots
Avec des couleurs vives au bout de son pinceau
Nous dire combien elle nous aimait
Nous dire combien lui manquerait
Cette vie qui nous tue comme si de rien n’était Refrain

Lui qui s’est arrêté au milieu du morceau
Elle qui n’a pas pu achever le tableau
Qui sait là-haut p’t-être en duo
Là-haut qui sait on n’sait jamais
Si la vie continue comme si de rien n’était Refrain

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