Paroles de la chanson Le Passant de Passage par DNS
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Paroles de la chanson Le Passant de Passage par DNS
Oh oh la la, Oh oh la la, Oh oh oh
Je passais dans ta vie comme passent les ombres
Un sourire, un soupir, et le vent les emporte
Tu rêvais de serments, des promesses qui plombent
Moi, je vivais au bord d'une étrange cohorte
Je fuyais les matins, toi, tu voulais des nuits, nuit
Où l'on s'aimaient à genoux, sans penser au silence
Je cache mes chagrins sous des mots, ohohoh, mal écrits
Tu voulais des aveux, pas des rimes en danse
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Je passais dans ta vie comme passent les ombres
Un sourire, un soupir, et le vent les emporte
Tu rêvais de serments, des promesses qui plombent
Moi, je vivais au bord d'une étrange cohorte
Je fuyais les matins, toi, tu voulais des nuits, nuit
Où l'on s'aimaient à genoux, sans penser au silence
Je cache mes chagrins sous des mots, ohohoh, mal écrits
Tu voulais des aveux, pas des rimes en danse
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Un amour égaré dans le pli des murmures
Que le temps a fané sans oser l'avouer
J'étais l'homme de rien, le passant de passage
Toi, la femme aux projets, aux désirs dessinés
J'écrivais sur les murs les éclats de mon âge
Tu lisais l'avenir dans des rêves peignés
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Un amour égaré dans le pli des murmures
Que le temps a fané sans oser l'avouer
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Un amour égaré dans le pli des murmures
Que le temps a fané sans oser l'avouer
Que le temps a fané sans oser l'avouer
J'étais l'homme de rien, le passant de passage
Toi, la femme aux projets, aux désirs dessinés
J'écrivais sur les murs les éclats de mon âge
Tu lisais l'avenir dans des rêves peignés
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Un amour égaré dans le pli des murmures
Que le temps a fané sans oser l'avouer
Et pourtant je t'aimais, sans un bruit, sans armure
Comme on aime en secret, sans jamais faire jurer
Un amour égaré dans le pli des murmures
Que le temps a fané sans oser l'avouer
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