Paroles de la chanson 400 pas par Bekar
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Paroles de la chanson 400 pas par Bekar
À force de s'répéter qu'on est faits l'un pour l'autre
J'ai l'impression qu'on est devenus presque incompatibles
J'crois que c'est clair qu'on patine
Mais qu'est-ce qu'on perd quand on part
Un tunnel remplit de fumée, je me sens pire qu'un ton-car
Rester même jusqu'au platine, peut être que j'vais prendre un platane
Destin tranché comme mon frère qui découpait toute la came
J'ai fait des tonnes de faux pas, j'ai fait des tonnes de faux bons
Mais aujourd'hui ça devient rare comme voir tomber des flocons
J'ai l'impression qu'on est devenus presque incompatibles
J'crois que c'est clair qu'on patine
Mais qu'est-ce qu'on perd quand on part
Un tunnel remplit de fumée, je me sens pire qu'un ton-car
Rester même jusqu'au platine, peut être que j'vais prendre un platane
Destin tranché comme mon frère qui découpait toute la came
J'ai fait des tonnes de faux pas, j'ai fait des tonnes de faux bons
Mais aujourd'hui ça devient rare comme voir tomber des flocons
J'ai vu mon frère perdre sa daronne
Et le soir dans le noir j'aimerais savoir ce qu'il se demande
À quoi ressemblent ses journées, l'impression d'être seul au monde
Quand triste est ta vision, est-ce que ta dernière sera la bonne ?
Des tonnes de questions donc ce soir j'coupe la Belvédère à la pomme
Et l'amour j'y crois plus trop, j'veux plus y signer
On s'aimera les beaux jours, mais on s'détestera in fine
Vu qu'on aime avoir mal, on attendra le premier choc
La première balle, celle qui testera les filets
Les gens normaux s'endorment le soir
Et le soir dans le noir j'aimerais savoir ce qu'il se demande
À quoi ressemblent ses journées, l'impression d'être seul au monde
Quand triste est ta vision, est-ce que ta dernière sera la bonne ?
Des tonnes de questions donc ce soir j'coupe la Belvédère à la pomme
Et l'amour j'y crois plus trop, j'veux plus y signer
On s'aimera les beaux jours, mais on s'détestera in fine
Vu qu'on aime avoir mal, on attendra le premier choc
La première balle, celle qui testera les filets
Les gens normaux s'endorment le soir
Moi j'suis seul dehors, j'fais les 400 pas
J'crois bien qu'en fait j'suis bien sans toi
Heure du décès, deux heures cinquante
Quand mon cœur s'est lassé d'devoir t'attendre
J'pensais bêtement qu'tu reviendrais pas
Si dans l'passé t'as tout manqué, pour le futur t'es tourmenté
Deux heures cinquante pétantes, il est bien trop tôt pour rentrer
Absent au bal de mes démons, là-bas c'est bre-som
Pour écrire, j'appuie là où j'ai mal et j'mets des mots sur ce que j'ressens
Des fois j'veux pas mentir alors des fois j'dis pas tout
Mais j'ai appris qu'être sincère c'est mieux qu'avoir du bagou
J'crois bien qu'en fait j'suis bien sans toi
Heure du décès, deux heures cinquante
Quand mon cœur s'est lassé d'devoir t'attendre
J'pensais bêtement qu'tu reviendrais pas
Si dans l'passé t'as tout manqué, pour le futur t'es tourmenté
Deux heures cinquante pétantes, il est bien trop tôt pour rentrer
Absent au bal de mes démons, là-bas c'est bre-som
Pour écrire, j'appuie là où j'ai mal et j'mets des mots sur ce que j'ressens
Des fois j'veux pas mentir alors des fois j'dis pas tout
Mais j'ai appris qu'être sincère c'est mieux qu'avoir du bagou
Avant d'devenir la plus belle page de ton livre
Je sers de brouillon pour la biatch dans mon lit
Emmène-moi loin, j'sais pas où, faut qu'on mette l'ancre
Et j'savoure jamais les victoires, je me dis « J'fais quoi maintenant ? »
Parfois j'peux pas m'voir en face, comme dans un photomaton
Et parfois je m'étonne de m'aimer avec autant d'aplomb
Fallait que je comprenne un peu l'histoire, je la regarde avec des yeux d'enfant
J'ai enfin décrypté les formes que dessinaient tes cheveux dans l'vent
Parfois j'brûle dans tous les sens, je me comporte comme le feu dans l'vent
En vrai je me rappelle plus si on était si heureux dans l'temps
Je sers de brouillon pour la biatch dans mon lit
Emmène-moi loin, j'sais pas où, faut qu'on mette l'ancre
Et j'savoure jamais les victoires, je me dis « J'fais quoi maintenant ? »
Parfois j'peux pas m'voir en face, comme dans un photomaton
Et parfois je m'étonne de m'aimer avec autant d'aplomb
Fallait que je comprenne un peu l'histoire, je la regarde avec des yeux d'enfant
J'ai enfin décrypté les formes que dessinaient tes cheveux dans l'vent
Parfois j'brûle dans tous les sens, je me comporte comme le feu dans l'vent
En vrai je me rappelle plus si on était si heureux dans l'temps
[Yoa, Bekar]
Les gens normaux s'endorment le soir
Moi j'suis seul dehors, j'fais les 400 pas
J'crois bien qu'en fait j'suis bien sans toi
Heure du décès, deux heures cinquante
Quand mon cœur s'est lassé d'devoir t'attendre
J'pensais bêtement qu'tu reviendrais pas
[Bekar, Yoa]
Les gens normaux s'endorment le soir
Moi j'suis seul dehors, j'fais les 400 pas
J'crois bien qu'en fait j'suis bien sans toi
Ouais, ouais
Heure du décès, deux heures cinquante
Quand mon cœur s'est lassé d'devoir t'attendre
J'pensais bêtement qu'tu reviendrais pas
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