Paroles de la chanson City-Light par Tue Loup
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Paroles de la chanson City-Light par Tue Loup
dis la belle trembles-tu parfois
De la surchauffe de nos cerveaux
Quand les yeux dilatés
Dans le ciel de San Francisco
On voyait des vikings
A l'air hagard et belliqueux
bondir de leurs drakkars
et mettre la plage en feu
et le grand poisson blanc
avec son sourire effrayant
et mes mains sur tes seins
avec ton sourire d'enfant
Et le brouillard tous les soirs
vient mouiller tes boucles noires
Oh brouillard mélancolique
De la surchauffe de nos cerveaux
Quand les yeux dilatés
Dans le ciel de San Francisco
On voyait des vikings
A l'air hagard et belliqueux
bondir de leurs drakkars
et mettre la plage en feu
et le grand poisson blanc
avec son sourire effrayant
et mes mains sur tes seins
avec ton sourire d'enfant
Et le brouillard tous les soirs
vient mouiller tes boucles noires
Oh brouillard mélancolique
Qui me ramène au Pacifique
dis la belle trembles-tu encore
De la surchauffe de nos cerveaux
Quand les yeux dilatés
Dans les rues bondées de Castro
On voyait des drag-queens
A la fulgurante beauté
se pâmer au balcon
et mettre la foule à leurs pieds
herbe grasse et crépitante
Entre tes doigts impatients
bouche lasse haletante
sous mes doigts bat ton sang
dis la belle trembles-tu encore
De la surchauffe de nos cerveaux
Quand les yeux dilatés
Dans les rues bondées de Castro
On voyait des drag-queens
A la fulgurante beauté
se pâmer au balcon
et mettre la foule à leurs pieds
herbe grasse et crépitante
Entre tes doigts impatients
bouche lasse haletante
sous mes doigts bat ton sang
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