Paroles de la chanson Coronavirus (Traduction) par Tom MacDonald

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Paroles de la chanson Coronavirus (Traduction) par Tom MacDonald

Je ne sais pas quoi penser de ce virus
Il a commencé en Chine, maintenant tout le monde, en Amérique, se cache
Il n’y a plus de provisions parce que les gens commencent à paniquer et à tout acheter
Les étalages sont vides, ceux qui ont beaucoup, font déjà des réserves
Vous faites tous des vidéos « rigolos », vous trouvez ça marrant ?
Attendez une semaine que les émeutes arrivent
Attendez un mois que le seul moyen de manger ce soit par la violence
Ce n’est pas la maladie qui est effrayante, ce sont tous les gens qui sont violents
Le gouvernement nous ment, ils essaient de ne pas nous affoler malgré les sirènes
On sait que c’est bien réel
Et maintenant, tous les géants pharmaceutiques n’ont pas le remède qu’ils peuvent vous vendre
Alors, maintenant, tout le monde meurt
Il n’y a ni vaccin ni médicament qui puissent combattre le virus
Je crois qu’il est temps de prier Dieu, on ne peut pas compter sur la science

Et tout le monde, autour de moi, porte un masque et des gants
La bourse s’est effondrée et les banques sont sur le point de s’écrouler
Dites-nous : « Désinfectez-vous les mains, ça passera
C’est un virus, restez chez vous, tout ira bien »
Jusqu’à ce qu’on soit coincés là pendant des mois

C’est une ville fantôme
On est tous ensemble dans le même bateau
Ils ferment tous les magasins
On se dirige vers les abris
C’est la guerre, maintenant, ils s’en souviendront toujours
On verrouille toutes nos portes
On se serre les coudes
C’est une ville fantôme

C’est une pandémie, mais on n’écoute pas les informations
Parce qu’ils nous ont menti pendant des années, comment savoir si c’est la vérité ?
Et la plupart d’entre nous sommes assez jeunes pour nous croire immunisés
Donc, on le transmet à des gens qui n’y survivront pas comme toi
Soit c’est pire que ce qu’ils nous disent, soit ce n’est rien du tout
Mais les écoles sont fermées, ils les détruisent toutes
Ils vont mettre la ville en quarantaine, bloquer la route et se barrer
Puis nous dire que quitter nos maisons, c’est en fait enfreindre la loi
Ce n’est que le début, vous savez que ça va s’aggraver
Les médecins tombent malades, les hôpitaux ne fonctionneront plus
Les théories du complot résonnent toutes comme des faits, ça c’est sûr
Mais le fait est qu’on est coincés sur cette planète appelée Terre

Et la javel a disparu ; le pain, il n'y en a plus ; l'eau, toute vendue
La viande a disparu ; le lait, il n'y en a plus ; les pâtes, toutes vendues
La viande, disparue ; le lait, il n’y en a plus ; les pâtes, toutes vendues
Tu ne laisses rien pour personne, tu amasses tout pour toi
Tu ferais mieux de leur dire : « Allez au diable », puis d’être un homme et d’aller aider

C’est une ville fantôme
Je ne sais pas quoi penser de ce virus
Il a commencé en Chine, maintenant, tout le monde en Amérique, se cache
Il n’y a plus de provisions parce que les gens commencent à paniquer et à tout acheter
Les étalages sont vides, ceux qui ont beaucoup, font déjà des réserves
Vous faites tous des vidéos « rigolos », vous trouvez ça marrant ?
Attendez une semaine que les émeutes arrivent
Attendez un mois que le seul moyen de manger ce soit par la violence
Ce n’est pas la maladie qui est effrayante, ce sont tous les gens qui sont violents
Le gouvernement nous ment, ils essaient de ne pas nous affoler malgré les sirènes
On sait que c’est bien réel
Et maintenant, tous les géants pharmaceutiques n’ont pas le remède qu’ils peuvent vous vendre
Alors, maintenant, tout le monde meurt
Il n’y a ni vaccin ni médicament qui puissent combattre le virus
Je crois qu’il est temps de prier Dieu, on ne peut pas compter sur la science


Et tout le monde, autour de moi, porte un masque et des gants
La bourse s’est effondrée et les banques sont sur le point de s’écrouler
Dites-nous : « Désinfectez-vous les mains, ça passera
C’est un virus, restez chez vous, tout ira bien »
Jusqu’à ce qu’on soit coincés là pendant des mois

C’est une ville fantôme
On est tous ensemble dans le même bateau
Ils ferment tous les magasins
On se dirige vers les abris
C’est la guerre, maintenant, ils s’en souviendront toujours
On verrouille toutes nos portes
On se serre les coudes
C’est une ville fantôme

C’est une pandémie, mais on n’écoute pas les informations
Parce qu’ils nous ont menti pendant des années, comment savoir si c’est la vérité ?
Et la plupart d’entre nous sommes assez jeunes pour nous croire immunisés
Donc, on le transmet à des gens qui n’y survivront pas comme toi
Soit c’est pire que ce qu’ils nous disent, soit ce n’est rien du tout
Mais les écoles sont fermées, ils les détruisent toutes
Ils vont mettre la ville en quarantaine, bloquer la route et se barrer
Puis nous dire que quitter nos maisons, c’est en fait enfreindre la loi
Ce n’est que le début, vous savez que ça va s’aggraver
Les médecins tombent malades, les hôpitaux ne fonctionneront plus
Les théories du complot résonnent toutes comme des faits, ça c’est sûr
Mais le fait est qu’on est coincés sur cette planète appelée Terre

Et la javel a disparu ; le pain, il n'y en a plus ; l'eau, toute vendue
La viande a disparu ; le lait, il n'y en a plus ; les pâtes, toutes vendues
La viande, disparue ; le lait, il n’y en a plus ; les pâtes, toutes vendues
Tu ne laisses rien pour personne, tu amasses tout pour toi
Tu ferais mieux de leur dire : « Allez au diable », puis d’être un homme et d’aller aider

C’est une ville fantôme
On est ensemble dans le même bateau
Ils ferment tous les magasins
On se dirige vers les abris
C’est la guerre, maintenant, ils s’en souviendront toujours
On verrouille toutes nos portes
On se serre les coudes
C’est une ville fantôme

On espère le meilleur, mais on se prépare au pire
Il y a une chose dont n’avons pas peur : c’est un dur labeur
On est confrontés à un ennemi qui n’a pas de visage
Il n’y a pas de bombes qu’on peut lâcher
Il n’y a nulle part où viser
Il n’y a pas de soldats qui s’arrêtent aux portes avec un char
Il n’existe aucun remède que nous avons ou de pilules qu’on puisse prendre
Il n’y a plus de nourriture, elle a été achetée
La vérité, c’est qu’on a peur
On reste assis dans nos chambres et on prie

C’est une ville fantôme
On est ensemble dans le même bateau
Ils ferment tous les magasins
On se dirige vers les abris
C’est la guerre, maintenant, ils s’en souviendront toujours
On verrouille toutes nos portes
On se serre les coudes
C’est une ville fantôme

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