Paroles de la chanson Éternel azur par Serge Lama
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Paroles de la chanson Éternel azur par Serge Lama
Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre ?
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles
La faute idéale de roses
La chair est triste, hélas, et j'ai lu tous les livres
Fuir là-bas ! Fuir !
Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre ?
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles
La faute idéale de roses
La chair est triste, hélas, et j'ai lu tous les livres
Fuir là-bas ! Fuir !
Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe
Perdus sans mâts, sans mâts ni fertiles îlots
Mais ô mon cœur, entends le chant des matelots
De l'éternel azur la sereine ironie
Accable, belle, indolemment comme les fleurs
Le poète impuissant qui maudit son génie
À travers un désert stérile de douleurs
J'ai embrassé l'aube d'été
Oisive jeunesse
A tout asservie
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie
Ah que le temps vienne
Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe
Perdus sans mâts, sans mâts ni fertiles îlots
Mais ô mon cœur, entends le chant des matelots
De l'éternel azur la sereine ironie
Accable, belle, indolemment comme les fleurs
Le poète impuissant qui maudit son génie
À travers un désert stérile de douleurs
J'ai embrassé l'aube d'été
Oisive jeunesse
A tout asservie
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie
Ah que le temps vienne
Où les cœurs s'éprennent
Car nous voulons la nuance encore
Pas la couleur, rien que la nuance
Oh, la nuance, seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !
De la musique encore et toujours
Et tout le reste est littérature
De la musique avant toute chose
Car nous voulons la nuance encore
Pas la couleur, rien que la nuance
Oh, la nuance, seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !
De la musique encore et toujours
Et tout le reste est littérature
De la musique avant toute chose
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