Paroles de la chanson Paysage par Olivier Bélisle
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Paroles de la chanson Paysage par Olivier Bélisle
J’me suis roulé dans Grande-Berce
Avec un rêve que j’tenais en laisse
Faut prendre ça au deuxième degré
Mais c'est quand même la vérité
Quand j’dis que j’perce
Ma propre tank à gaz
C'est que j’vais verser une coupe de larmes couleur pâques
Sur un grand paysage triste
Que je dévisagerai tranquillement
Tel un selfie froid comme du ciment
Même ciré, scellé
Ça reste un désert de beauté
L’encanteur est mort
En dealant un collant
Avec un rêve que j’tenais en laisse
Faut prendre ça au deuxième degré
Mais c'est quand même la vérité
Quand j’dis que j’perce
Ma propre tank à gaz
C'est que j’vais verser une coupe de larmes couleur pâques
Sur un grand paysage triste
Que je dévisagerai tranquillement
Tel un selfie froid comme du ciment
Même ciré, scellé
Ça reste un désert de beauté
L’encanteur est mort
En dealant un collant
À saveur de liberté
Quinze milles dans le ciel bleu
Vingt milles avant de se rendre compte qu’on est deux
En attente devant l’éternité
À cicatriser nos lendemains
L’encre déchire dans un coin
Tordu, dilué
En avance sur l’horreur
On a fracassé tous les records
Et nos palettes en or
Mais a-t-on grandi en peur
À chasser cette liberté
Quinze milles dans le ciel bleu
Vingt milles avant de se rendre compte qu’on est deux
En attente devant l’éternité
À cicatriser nos lendemains
L’encre déchire dans un coin
Tordu, dilué
En avance sur l’horreur
On a fracassé tous les records
Et nos palettes en or
Mais a-t-on grandi en peur
À chasser cette liberté
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