Paroles de la chanson Сeлфхарм (Selfharm) (traduction) par монеточка (monetochka)
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Paroles de la chanson Сeлфхарм (Selfharm) (traduction) par монеточка (monetochka)
Je sens comme l'automutilation, je sens comme un très mauvais plan
Je sens comme un traumatisme d'enfance et des crises jusqu'au matin
Comme une pause gênante, une pièce non aérée
Je sens comme la méfiance envers les psychothérapeutes, et
Mon odeur, c'est du cortisol à 100%
Je cache mes sentiments derrière un masque de clown, lol
Je sens comme la jalousie et la haine, mais
N'aie pas peur, je me punirai plus tard
Je sens comme huit heures à faire défiler TikTok
Je sens comme un choc, comme "ne t'approche pas, ça va tuer"
Je sens comme un traumatisme d'enfance et des crises jusqu'au matin
Comme une pause gênante, une pièce non aérée
Je sens comme la méfiance envers les psychothérapeutes, et
Mon odeur, c'est du cortisol à 100%
Je cache mes sentiments derrière un masque de clown, lol
Je sens comme la jalousie et la haine, mais
N'aie pas peur, je me punirai plus tard
Je sens comme huit heures à faire défiler TikTok
Je sens comme un choc, comme "ne t'approche pas, ça va tuer"
Comme un crocodile, comme une tante lente devant
Quand le sentier est étroit et qu'on ne peut pas le contourner
Je sens comme la peur de te regarder dans les yeux
Tant d'années à chercher les mots, mais ne jamais les dire
Je sens comme un fil dénudé
La panique sans raison
Une ville dépressive
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Quand le sentier est étroit et qu'on ne peut pas le contourner
Je sens comme la peur de te regarder dans les yeux
Tant d'années à chercher les mots, mais ne jamais les dire
Je sens comme un fil dénudé
La panique sans raison
Une ville dépressive
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Je sens comme de la merde, mais je t'en supplie, attends
Je ne demanderai pas grand-chose, ma demande est simple :
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Je sens comme de la merde, mais je t'en supplie, attends
Je ne demanderai pas grand-chose, ma demande est simple :
S'il te plaît, laisse-moi m'allonger sur toi comme une couche
Comme si tu étais du sable, et moi une pente ou un poisson-chat
Je voudrais me calmer dans tes mains insouciantes
Mais je sens comme la peur, comme fuir en panique
Comme réveiller au milieu de la nuit, parler en pleurant
Comme se ronger les ongles ou se mordre les lèvres jusqu'au sang
Comme un tigre en cage, faisant nerveusement des cercles
Comme embellir pour plaire aux autres
Comme un écran griffé, un appel manqué
Comme un névrose non soigné, un plafond qui fuit
Je sens comme la peur de te regarder dans les yeux
Comme si tu étais du sable, et moi une pente ou un poisson-chat
Je voudrais me calmer dans tes mains insouciantes
Mais je sens comme la peur, comme fuir en panique
Comme réveiller au milieu de la nuit, parler en pleurant
Comme se ronger les ongles ou se mordre les lèvres jusqu'au sang
Comme un tigre en cage, faisant nerveusement des cercles
Comme embellir pour plaire aux autres
Comme un écran griffé, un appel manqué
Comme un névrose non soigné, un plafond qui fuit
Je sens comme la peur de te regarder dans les yeux
Comme tant d'années à chercher les mots, mais ne jamais les dire
Et dans ce sens, tu as vraiment eu de la chance
Sinon, tu comprends, ça aurait été ni l'un ni l'autre
Car tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Et dans ce sens, tu as vraiment eu de la chance
Sinon, tu comprends, ça aurait été ni l'un ni l'autre
Car tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment
Et tu sens comme la tranquillité, comme le silence dans ta tête
Tu es comme dix heures de sommeil ininterrompu
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment.
Tu es jeudi, tu es 16h00, tu es du thé à la camomille et la paix
Je pleure toujours, et tu sens comme ces shampoings sans larmes
Comme le soin, comme la maison, comme la capacité de prendre au sérieux
Et d'aimer longtemps, d'aimer infiniment.
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