Paroles de la chanson Adulescence par Hyl
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Paroles de la chanson Adulescence par Hyl
Entre le temps qui frappe et se dissipe comme une insulte
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Pour les battants qui se relèvent après chaque chute
Qui sans connaître le but repartent quand même en courant
Entre l’enfant qui n’a pas choisi d’être adulte
Et l’adulte qui restera enfant
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Pour les battants qui se relèvent après chaque chute
Qui sans connaître le but repartent quand même en courant
Entre l’enfant qui n’a pas choisi d’être adulte
Et l’adulte qui restera enfant
Avant, j’me rappelle je rêvais d’être moi maintenant, musicien à plein temps
J’aimerais lui dire que j’ai pas lâché, même amoché
Que notre rêve je l’aurai volé à l’arrachée
Et s’il me voit vieux, lui dire que j’ai pas l’impression d’être grand
J’aimerais lui dire qu’il avait raison pour la guitare
Parce qu’aujourd’hui je la reprends sur scène
J’aimerais lui dire que oui fallait y croire
Et quand papa disait une chance sur un million y avait une chance quand même
Lui dire qu’il a planté toutes les graines qui me permettent d’avancer
J’aimerais lui dire que j’ai pas lâché, même amoché
Que notre rêve je l’aurai volé à l’arrachée
Et s’il me voit vieux, lui dire que j’ai pas l’impression d’être grand
J’aimerais lui dire qu’il avait raison pour la guitare
Parce qu’aujourd’hui je la reprends sur scène
J’aimerais lui dire que oui fallait y croire
Et quand papa disait une chance sur un million y avait une chance quand même
Lui dire qu’il a planté toutes les graines qui me permettent d’avancer
Qu’il a rencontré les bonnes personnes
Il me croira pas si je lui dis que Jéjé c’est le premier à se marier
Mais que le monde je sais plus si il fonctionne
Qu’on est à trois dans un appart qui fait la taille du salon
Que Mona a réussi dans l’art et qu’elle avait raison
D’ailleurs il le sait pas mais on a une nouvelle petite sœur
On était valet dame roi et voilà l’as de cœur
Adulescence
Adulescence
Il me croira pas si je lui dis que Jéjé c’est le premier à se marier
Mais que le monde je sais plus si il fonctionne
Qu’on est à trois dans un appart qui fait la taille du salon
Que Mona a réussi dans l’art et qu’elle avait raison
D’ailleurs il le sait pas mais on a une nouvelle petite sœur
On était valet dame roi et voilà l’as de cœur
Adulescence
Adulescence
Entre le temps qui frappe et se dissipe comme une insulte
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Pour les battants qui se relèvent après chaque chute
Qui sans connaître le but repartent quand même en courant
Entre l’enfant qui n’a pas choisi d’être adulte
Et l’adulte qui restera enfant
J’lui parlerai pas de ce monde, qu’il garde son innocence
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Pour les battants qui se relèvent après chaque chute
Qui sans connaître le but repartent quand même en courant
Entre l’enfant qui n’a pas choisi d’être adulte
Et l’adulte qui restera enfant
J’lui parlerai pas de ce monde, qu’il garde son innocence
Notre force aujourd’hui c’est de partir dans tous les sens
Qu’il faut pas confondre méfiance avec intelligence
Et si la peur te prend, fais-moi et fais-toi confiance
Qu’il va tomber amoureux et ça sera fou
Qu’il va se sentir piégé par le monde entier pour la bonne cause
Qu’il croira perdre du temps, mais en fait pas du tout
Qu’on construit ce qu’il y a en nous grâce à tout un tas de choses
Que tout change tout le temps, qu’il faut apprendre à pardonner
Et si j’ai un conseil chiant c’est que pour recevoir il faut donner
Qu’il faut pas confondre méfiance avec intelligence
Et si la peur te prend, fais-moi et fais-toi confiance
Qu’il va tomber amoureux et ça sera fou
Qu’il va se sentir piégé par le monde entier pour la bonne cause
Qu’il croira perdre du temps, mais en fait pas du tout
Qu’on construit ce qu’il y a en nous grâce à tout un tas de choses
Que tout change tout le temps, qu’il faut apprendre à pardonner
Et si j’ai un conseil chiant c’est que pour recevoir il faut donner
Qu’on n’est pas si différent, mais ça il me croira pas
Et pardon pour l’alcool, la drogue et tout ce qui fera qu’on s’abîmera
Que je le remercie d’être jamais parti
Qu’il faut pas faire comme les autres mais comme on l’avait dit
Qu’il peut croire en plein de choses mais surtout en lui
Qu’on trouvera la force dans la famille, les amis et l’insomnie
Lui dire de savourer d’être deux avant de s’en mordre les doigts
Lui dire qu’être heureux c’est aussi savourer ce qu’on a déjà
Lui dire c’que le moi de demain me dira
Et pardon pour l’alcool, la drogue et tout ce qui fera qu’on s’abîmera
Que je le remercie d’être jamais parti
Qu’il faut pas faire comme les autres mais comme on l’avait dit
Qu’il peut croire en plein de choses mais surtout en lui
Qu’on trouvera la force dans la famille, les amis et l’insomnie
Lui dire de savourer d’être deux avant de s’en mordre les doigts
Lui dire qu’être heureux c’est aussi savourer ce qu’on a déjà
Lui dire c’que le moi de demain me dira
Lui dire de profiter des vieux parce que papi s’en va
Le prévenir et en même temps pas trop
Parce que le présent c’est déjà l’avenir si je regarde dans le rétro
L’avertir du temps, sans lui donner la météo
En espérant que dans 15 ans tu nous écrives ces mots
Adulescence
Entre le temps qui frappe et se dissipe comme une insulte
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Le prévenir et en même temps pas trop
Parce que le présent c’est déjà l’avenir si je regarde dans le rétro
L’avertir du temps, sans lui donner la météo
En espérant que dans 15 ans tu nous écrives ces mots
Adulescence
Entre le temps qui frappe et se dissipe comme une insulte
Entre les rêves qui chutent en regardant devant
Dans ce silence qui dans nos vies s’incruste
Pour les « pas juste » qui resteront coincés dans les dents
Pour les battants qui se relèvent après chaque chute
Qui sans connaître le but repartent quand même en courant
Entre l’enfant qui n’a pas choisi d’être adulte
Et l’adulte qui restera enfant
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