Paroles de la chanson Les grands espaces par Eloïz
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Paroles de la chanson Les grands espaces par Eloïz
Alors on se demandera, ils sont où les matins doux
Sans nuage
Les matins où ton souffle
Se brisait sur mon visage
J′voudrais revoir ton sourire
Qui me disait autrefois
Que j'aurais pu être celle de ta vie
Pas celle d′une seule fois
Et si je rêve encore d'un monde avec toi
D'un monde où je pourrais crier
Je t′aime, sur tous les toits
Et si, j′espère au fond qu'on se retrouvera
Sans nuage
Les matins où ton souffle
Se brisait sur mon visage
J′voudrais revoir ton sourire
Qui me disait autrefois
Que j'aurais pu être celle de ta vie
Pas celle d′une seule fois
Et si je rêve encore d'un monde avec toi
D'un monde où je pourrais crier
Je t′aime, sur tous les toits
Et si, j′espère au fond qu'on se retrouvera
Je me dis que je suis sûrement condamnée
À revivre le même schéma
Alors
Je m′accroche à nos souvenirs
Et j'me demande, qu′allons-nous devenir?
Alors on ira, à la recherche des grands espaces
On pensera, peut-être avoir trouvé notre place
Mais tu verras, que rien ne nous remplace
Il restera, juste de nous une trace
Et on deviendra fous
Fous
On deviendra fous
Fous
J'ai plus qu′le souvenir de ta bouche
À revivre le même schéma
Alors
Je m′accroche à nos souvenirs
Et j'me demande, qu′allons-nous devenir?
Alors on ira, à la recherche des grands espaces
On pensera, peut-être avoir trouvé notre place
Mais tu verras, que rien ne nous remplace
Il restera, juste de nous une trace
Et on deviendra fous
Fous
On deviendra fous
Fous
J'ai plus qu′le souvenir de ta bouche
De tes yeux et l'orage
À chaque fois que la pluie tombe
Désormais sur mon visage
Il y'a les nuages, les nuages
Et bien plus loin y′aura le ciel
Pourvu que l′amour me dévore
Comme la mer dévore le sel
Avoue que tu rêves parfois
D'un monde avec moi
D′un monde où même un petit café
Où le vent file entre nos doigts
Et puis, dans les larmes, sans fond, on se retrouvera
Mais pourquoi remonter à la surface si tu n'existes pas?
À chaque fois que la pluie tombe
Désormais sur mon visage
Il y'a les nuages, les nuages
Et bien plus loin y′aura le ciel
Pourvu que l′amour me dévore
Comme la mer dévore le sel
Avoue que tu rêves parfois
D'un monde avec moi
D′un monde où même un petit café
Où le vent file entre nos doigts
Et puis, dans les larmes, sans fond, on se retrouvera
Mais pourquoi remonter à la surface si tu n'existes pas?
Alors on ira, à la recherche des grands espaces
On pensera, peut-être avoir trouvé notre place
Mais tu verras, que rien ne nous remplace
Il restera, juste de nous une trace
Et on deviendra fous
Fous
On deviendra fous
Fous
Et on deviendra fous
Fous
On deviendra fous
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