Paroles de la chanson Voyage interdit par Colt
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Paroles de la chanson Voyage interdit par Colt
On était qu'à deux
Au bord de la voie
Le vent frais dans les cheveux
Mais seulement chez moi
Toi, toi c'était l'orage
Qui serrait tes dents
Mais tu disais rien
Non t'es plus un enfant
T'attendais ton train
Toi tu perdais patience
Mais le moteur éteint
Plus rien dans le ventre
Moi j'aurai voulu poser ma tête sur ton épaule
Les trains passent et tu sais
Mais sans qu'ils te frôlent
Moi les fesses collées au bitume de la gare
Au bord de la voie
Le vent frais dans les cheveux
Mais seulement chez moi
Toi, toi c'était l'orage
Qui serrait tes dents
Mais tu disais rien
Non t'es plus un enfant
T'attendais ton train
Toi tu perdais patience
Mais le moteur éteint
Plus rien dans le ventre
Moi j'aurai voulu poser ma tête sur ton épaule
Les trains passent et tu sais
Mais sans qu'ils te frôlent
Moi les fesses collées au bitume de la gare
Je te voyais t'épuiser sans t'en apercevoir
Courir après les débouchés
Choisir au hasard
Mais faut pouvoir respirer
Pour trouver sa voie
Non, tu cours après les faux départs
Toujours aussi cruels qu'inévitables
On nous dit "Tu trouveras ta voie"
Mais j'ai compris que grandir peut décevoir
Les trajets sans virages n'existent pas
Les projets tout tracés sont des erreurs
Et s'égarer fait partie du voyage
Si tu sais en goûter la saveur
Et moi j'ai vu filer tes faux espoirs
J'aurais voulu te prendre dans mes bras
Te consoler comme autrefois
Quand on comptait nos ennuis sur nos doigts
Courir après les débouchés
Choisir au hasard
Mais faut pouvoir respirer
Pour trouver sa voie
Non, tu cours après les faux départs
Toujours aussi cruels qu'inévitables
On nous dit "Tu trouveras ta voie"
Mais j'ai compris que grandir peut décevoir
Les trajets sans virages n'existent pas
Les projets tout tracés sont des erreurs
Et s'égarer fait partie du voyage
Si tu sais en goûter la saveur
Et moi j'ai vu filer tes faux espoirs
J'aurais voulu te prendre dans mes bras
Te consoler comme autrefois
Quand on comptait nos ennuis sur nos doigts
T'étais adossée
Au mur juste en face
Je sentais le fossé
Que creusaient nos regards
J'ai gouté ta peine
Je t'entendais me reprocher
Toi chanter ça paye
Toi t'as jamais lâché
Toi t'es parfaite
Une passion pour te guider
T'es née avec un rêve
Moi on m'a rien donné
J'ai senti que t'allais te perdre
J'ai senti que t'allais lâcher
Mais comment je pouvais faire ?
T'avais raison je t'avais dépassé
Eh hein mais ça se saurait si c'était rien qu'un concours
J'aurai abrégé mes doutes, esquivé les détours
J'aurais contourné les règles pour t'aider au feu rouge
Mais c'est plutôt solitaire de tracer sa route
Non, tu cours après les faux départs
Toujours aussi cruels qu'inévitables
On nous dit "Tu trouveras ta voie"
Mais j'ai compris que grandir peut décevoir
Les trajets sans virages n'existent pas
Les projets tout tracés sont des erreurs
Et s'égarer fait partie du voyage
Si tu sais en goûter la saveur
Et moi j'ai vu filer tes faux espoirs
J'aurais voulu te prendre dans mes bras
J'aurai abrégé mes doutes, esquivé les détours
J'aurais contourné les règles pour t'aider au feu rouge
Mais c'est plutôt solitaire de tracer sa route
Non, tu cours après les faux départs
Toujours aussi cruels qu'inévitables
On nous dit "Tu trouveras ta voie"
Mais j'ai compris que grandir peut décevoir
Les trajets sans virages n'existent pas
Les projets tout tracés sont des erreurs
Et s'égarer fait partie du voyage
Si tu sais en goûter la saveur
Et moi j'ai vu filer tes faux espoirs
J'aurais voulu te prendre dans mes bras
Te consoler comme autrefois
Quand on comptait nos ennuis sur nos doigts
Quand on comptait nos ennuis sur nos doigts
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