Paroles de la chanson Les roselières par Arzel

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Paroles de la chanson Les roselières par Arzel

Au-delà de l'automne
Et des roselières
Dans les champs monotones
Et les ruisseaux d'hiver

Je chantonnais ma peine
Et ce qu'il restait du soleil
Oh qu'elles sont lourdes ces chaînes
Que je fabriquais moi-même

Je m'échapperai de la cage
Où je m'enfermais le soir
Pour ne pas voir ce que cachent
Les grandes personnes qui ne dorment pas

C'était pas toi, c'était moi

Qui refusais de voir
Que le soleil ne pleure pas
Que l'été reviendra

Et dans tout ce vacarme
Je t'en prie console-moi
La nuit, elle, est si froide
L'été nous reviendra

Au-delà de ces rochers
Où s'écrasent les vagues
Des sourires que tu laissais
Au creux de mon âme

Avant que tout s'en aille
Comme le soir où je suis restée devant toi
J'attendais que tu me parles
Mais j'étais seule, tu n'étais pas vraiment là

C'était pas toi, c'était moi
Qui refusais de voir
Que le soleil ne pleure pas
Que l'été reviendra

Et dans tout ce vacarme
Je t'en prie console-moi
La nuit, elle, est si froide
L'été nous reviendra

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