Paroles de la chanson En vérité par Luc Romann
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Paroles de la chanson En vérité par Luc Romann
Je vivais bien, j'étais dans la lumière
Et je buvais l'eau claire des ruisseaux
Je connaissais les rêves des rivières
Quand je vivais dans le vent des oiseaux
Comme les cigales, je me faisais mes ailes
Comme les roseaux, je me faisais mes os
La liberté était toujours nouvelle
Quand j'écrivais sur les vagues de l'eau
Ils sont venus pour me prendre ma terre
Et ils l'ont prise, en vérité
Par la violence et par la guerre
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
Et je buvais l'eau claire des ruisseaux
Je connaissais les rêves des rivières
Quand je vivais dans le vent des oiseaux
Comme les cigales, je me faisais mes ailes
Comme les roseaux, je me faisais mes os
La liberté était toujours nouvelle
Quand j'écrivais sur les vagues de l'eau
Ils sont venus pour me prendre ma terre
Et ils l'ont prise, en vérité
Par la violence et par la guerre
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
Au nom de leur dieu, au nom de leurs idoles
Ils ont bâti des temples d'argent et d'or
Et ils m'ont mis dans leurs écoles
Pour mieux mettre mon âme à mort
Je vivais bien, j'étais dans la lumière
Et je buvais l'eau claire des ruisseaux
Je connaissais les rêves des rivières
Quand je vivais dans le vent des oiseaux
Comme les cigales, je me faisais mes ailes
Comme les roseaux, je me faisais mes os
Ma liberté était toujours nouvelle
Quand j'écrivais sur les vagues de l'eau
À tant détruire, à tant tuer
Au nom de leur dieu, au nom de leurs idoles
Ils ont bâti des temples d'argent et d'or
Et ils m'ont mis dans leurs écoles
Pour mieux mettre mon âme à mort
Je vivais bien, j'étais dans la lumière
Et je buvais l'eau claire des ruisseaux
Je connaissais les rêves des rivières
Quand je vivais dans le vent des oiseaux
Comme les cigales, je me faisais mes ailes
Comme les roseaux, je me faisais mes os
Ma liberté était toujours nouvelle
Quand j'écrivais sur les vagues de l'eau
Ils sont venus pour me prendre ma terre
Et ils l'ont prise, en vérité
Par la violence et par la guerre
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
Et ils l'ont prise, en vérité
Par la violence et par la guerre
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
En vérité, il faut le dire
À tant détruire, à tant tuer
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