Paroles de la chanson Zébré par Octave Gianni
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Paroles de la chanson Zébré par Octave Gianni
Trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir dépecé ?
Je végète en peau zébrée
Un peu trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir inversé
J'aimerais me reposer mais
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Dur de rester stable
Quand je me trouve détestable
Des jours sur un piédestal
D'autres lesté par le sable
Je me suis dépensé
Vais-je finir dépecé ?
Je végète en peau zébrée
Un peu trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir inversé
J'aimerais me reposer mais
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Dur de rester stable
Quand je me trouve détestable
Des jours sur un piédestal
D'autres lesté par le sable
Dur de rester seul
Quand personne ne comprend mes scènes
Pour son cœur je ne suis qu'un mécène
Dans le mien résonne le Larsen
Grand sourire sous lumière
Petit corps aussi dur que la pierre pour cacher les faiblesses
Je sais que je blesse et je ne suis pas si fier
Ma bonté se fane il ne reste que des flammes
Je rêve de celle qui comblera mes failles
J'en tremble comme une feuille
J'ai rêvé des nuits qu'on me comprenne pour lâcher les rênes
Cette recherche est éternelle rend mon visage blême
L'amour court les ruelles sauf dans les miennes
À court de lumière mon cœur fait de la peine
J'épuise mon inspi quand la lune est pleine
J'écris ma vie pour la chanter plus belle
Aigri j'ai mis la chance à la poubelle
Assis j'attends mon remède
Fatalement je me complais de ces moments mortels
À ras de terre je n'ai plus de modèle
Sur mon Natel plus de mots d'elle
Mes lignes sont toutes contradictoires
Je ne fais que broyer du noir
Ma vie comme une balançoire
Je reste l'enfant qui a peur du noir
Mes lignes sont toutes contradictoires
Je ne fais que broyer du noir
Ma vie comme une balançoire
À court de lumière mon cœur fait de la peine
J'épuise mon inspi quand la lune est pleine
J'écris ma vie pour la chanter plus belle
Aigri j'ai mis la chance à la poubelle
Assis j'attends mon remède
Fatalement je me complais de ces moments mortels
À ras de terre je n'ai plus de modèle
Sur mon Natel plus de mots d'elle
Mes lignes sont toutes contradictoires
Je ne fais que broyer du noir
Ma vie comme une balançoire
Je reste l'enfant qui a peur du noir
Mes lignes sont toutes contradictoires
Je ne fais que broyer du noir
Ma vie comme une balançoire
Je reste l'enfant qui a peur
Dur de rester stable
Quand je me trouve détestable
Des jours sur un pied piédestal
D'autres lesté par le sable
Dur de rester seul
Quand personne ne comprend mes scènes
Pour son cœur je ne suis qu'un mécène
Dans le mien résonne le Larsen
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir dépecé ?
Dur de rester stable
Quand je me trouve détestable
Des jours sur un pied piédestal
D'autres lesté par le sable
Dur de rester seul
Quand personne ne comprend mes scènes
Pour son cœur je ne suis qu'un mécène
Dans le mien résonne le Larsen
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Seulement, j'attends seul le moment de bonheur
Trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir dépecé ?
Je végète en peau zébrée
Un peu trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir inversé
J'aimerais me reposer
Un peu trop de pensées
Je me suis dépensé
Vais-je finir inversé
J'aimerais me reposer
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