Paroles de la chanson Complainte Mecanique par Les Frères Jacques
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Auteurs: A Huot
Compositeurs: Misraki
Editeurs: Amplitude Editions Musicales,Rive Droite Music France
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Paroles de A HUOT
Musique de Paul MISRAKI
© AMPLITUDE EDITIONS MUSICALES, RIVE DROITE MUSIC FRANCE
Paroles de la chanson Complainte Mecanique par Les Frères Jacques
Dans l’usine qui turbine
La machine fait du bruit
De mes pièces qui se pressent
Dans la caisse l’acier luit
Mécanique et cynique
Je la fabrique sans répit
A la chaine dans la peine
Dans la haine du profit
Cigarette, Allumette
Chansonnette, Ca va mieux
Ah ! Misère sur la terre
Pourquoi faire ? Nom de Dieu!
Mais je baille, je trainaille
Je travaille sans ardeur
Marche, crève, pas de trêve
La machine fait du bruit
De mes pièces qui se pressent
Dans la caisse l’acier luit
Mécanique et cynique
Je la fabrique sans répit
A la chaine dans la peine
Dans la haine du profit
Cigarette, Allumette
Chansonnette, Ca va mieux
Ah ! Misère sur la terre
Pourquoi faire ? Nom de Dieu!
Mais je baille, je trainaille
Je travaille sans ardeur
Marche, crève, pas de trêve
Pas de rêves de bonheur
Chronomètre, contremaître
Sont les maîtres du destin
Ils me mènent, ils m’entrainent
Ils m’enchainent mes deux mains
Les vacances, le silence
L’espérance des amours
La rivière, son eau claire
Sa lumière, quinze jours
Et ce songe, ce mensonge
Me replonge dans l’enfer
Où nos rondes se confondent
Dans un monde tout en fer
Ma machine se débine
Dans l’usine je la suis
Et mes pièces se redressent
Dans la caisse et s’enfuient
Chronomètre, contremaître
Sont les maîtres du destin
Ils me mènent, ils m’entrainent
Ils m’enchainent mes deux mains
Les vacances, le silence
L’espérance des amours
La rivière, son eau claire
Sa lumière, quinze jours
Et ce songe, ce mensonge
Me replonge dans l’enfer
Où nos rondes se confondent
Dans un monde tout en fer
Ma machine se débine
Dans l’usine je la suis
Et mes pièces se redressent
Dans la caisse et s’enfuient
Mon amie, ma jolie
Ma chérie tu viendras
Dans ma piaule où se frôlent
Nos épaules, on s’aimera
Ma chérie tu viendras
Dans ma piaule où se frôlent
Nos épaules, on s’aimera
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