Paroles de la chanson Excès De Zèle par Jacques Higelin
Auteurs: Jacques Higelin
Compositeurs: Jacques Higelin
Editeurs: Emi Music Publishing France
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Paroles de la chanson Excès De Zèle par Jacques Higelin
Les matins clairs quand les fées nourricières
Font danser leurs tapis
Sur le rebord des balcons fleuris
Les bras ouverts le front auréolé
D'un rayon de lumière
Je rêve au fond de mon lit
L'odeur du café noir du pain grillé
Réveille au fond de ma mémoire
L'image d'un bonheur léger, léger
Ventre affamé je bondis comme un fou
Plonger mes crocs dans les tartines
Et dans le cou, de la voisine affolée
Accès à tout, excès de zèle
Je m'prends les pieds dans l'sac poubelle
Font danser leurs tapis
Sur le rebord des balcons fleuris
Les bras ouverts le front auréolé
D'un rayon de lumière
Je rêve au fond de mon lit
L'odeur du café noir du pain grillé
Réveille au fond de ma mémoire
L'image d'un bonheur léger, léger
Ventre affamé je bondis comme un fou
Plonger mes crocs dans les tartines
Et dans le cou, de la voisine affolée
Accès à tout, excès de zèle
Je m'prends les pieds dans l'sac poubelle
Et me retrouve sur ses genoux
Les doigts plongés dans l'eau qui bout
Oh mais vous êtes fou !
Les matins clairs quand les fées nourricières
Vont jeter leurs maris
Du haut de leurs beaux balcons fleuris
Les bras ouverts le front auréolé
D'un rayon de lumière
Je rêve au fond de leur lit
L'odeur du café noir du pain brûlé
Le chant de l'eau dans la baignoire
Me rend le c?ur léger, léger, léger
Corps enflammé je bondis tel un fou
Plonger mes crocs dans les tétines
Et dans le cou de mes voisines affolées
Les doigts plongés dans l'eau qui bout
Oh mais vous êtes fou !
Les matins clairs quand les fées nourricières
Vont jeter leurs maris
Du haut de leurs beaux balcons fleuris
Les bras ouverts le front auréolé
D'un rayon de lumière
Je rêve au fond de leur lit
L'odeur du café noir du pain brûlé
Le chant de l'eau dans la baignoire
Me rend le c?ur léger, léger, léger
Corps enflammé je bondis tel un fou
Plonger mes crocs dans les tétines
Et dans le cou de mes voisines affolées
Accès à tout excès de zèle
Je m'prends les pieds dans leurs dentelles
Et me retrouve sans dessus dessous
Leurs doigts fiévreux serrant mon cou
Oh mais vous êtes folles !
Il s'lève le matin beaucoup trop tôt le matin
Il s'lève le matin beaucoup trop tôt le matin
Cot cot cot cot codé
Je m'prends les pieds dans leurs dentelles
Et me retrouve sans dessus dessous
Leurs doigts fiévreux serrant mon cou
Oh mais vous êtes folles !
Il s'lève le matin beaucoup trop tôt le matin
Il s'lève le matin beaucoup trop tôt le matin
Cot cot cot cot codé
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