Paroles de la chanson Essouffle par Hyl
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Paroles de la chanson Essouffle par Hyl
La rosée des jours gris vient me faire des avances
Chaque gouttes brillent et glissent sur l’bord de ma tempe De mots en phrases je construis des ponts reliés à l’enfance Que je traverse pour me façonner un visage étanche
Je divague sur des questions que j’devrais même pas m’poser
Qui de nous deux aura raison si je la laisse s’interposer
Assis au milieu de mes rêves elle a semée
Des graines de cauchemars qui poussent sans jamais être arrosées
Le rideau se lève on se sent éternel
Le niveau s’élève on se sent éphémère
Évidemment les zones grises commencent à s’étendre Quand les filaments de l’âge commencent à s’éteindre
Chaque gouttes brillent et glissent sur l’bord de ma tempe De mots en phrases je construis des ponts reliés à l’enfance Que je traverse pour me façonner un visage étanche
Je divague sur des questions que j’devrais même pas m’poser
Qui de nous deux aura raison si je la laisse s’interposer
Assis au milieu de mes rêves elle a semée
Des graines de cauchemars qui poussent sans jamais être arrosées
Le rideau se lève on se sent éternel
Le niveau s’élève on se sent éphémère
Évidemment les zones grises commencent à s’étendre Quand les filaments de l’âge commencent à s’éteindre
À l’étroit tout est compacté à l’étage
Toute la mémoire dégradée, un sale état Des cernes dans le cerveau, tu vois l’image
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire, et sans m’essouffler
À l’époque ouais à l’époque
Ça me dépasse, pupilles en arrière pour me regarder en face Toujours assis à la même place ce bureau me sert de miroir
Les larmes je les entasse, elles s’évaporent quand je brise la glace Je brise la glace, trouve moi entre les lignes pour me voir
Je transforme le triste en faim pour vaincre, j’ai l’titre en tête pour l’atteindre
Prendre le risque d’être le peintre que la toile voudrait rejoindre Puisqu’il fait vivre j’enferme l’espoir dans la même pièce que mes rêves
Toute la mémoire dégradée, un sale état Des cernes dans le cerveau, tu vois l’image
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire, et sans m’essouffler
À l’époque ouais à l’époque
Ça me dépasse, pupilles en arrière pour me regarder en face Toujours assis à la même place ce bureau me sert de miroir
Les larmes je les entasse, elles s’évaporent quand je brise la glace Je brise la glace, trouve moi entre les lignes pour me voir
Je transforme le triste en faim pour vaincre, j’ai l’titre en tête pour l’atteindre
Prendre le risque d’être le peintre que la toile voudrait rejoindre Puisqu’il fait vivre j’enferme l’espoir dans la même pièce que mes rêves
Puisqu’il faut suivre ce qu’on aime croire de l’envie j’serai l’élève
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire, et sans m’essouffler
À époque ouais à l’époque
À l’étroit tout est compacté à l’étage
Toute la mémoire dégradée, un sale état Des cernes dans le cerveau, tu vois l’image
J’ai digéré c’qui allait mal, je garde la rage Je pourrais péter du cristal, avec ma voix Nouvel ouvrage voici la première page
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire,Maintenant je le sais
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire, et sans m’essouffler
À époque ouais à l’époque
À l’étroit tout est compacté à l’étage
Toute la mémoire dégradée, un sale état Des cernes dans le cerveau, tu vois l’image
J’ai digéré c’qui allait mal, je garde la rage Je pourrais péter du cristal, avec ma voix Nouvel ouvrage voici la première page
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant j’étouffe ouais À l’époque j’y allais fier et j’parle au passé
À l’époque j’pouvais tout faire,Maintenant je le sais
À époque ouais à l’époque
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant je le sais Alors je le fais
Et sans m’essouffler
À l’époque j’pouvais tout faire, maintenant je le sais Alors je le fais
Et sans m’essouffler
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