Paroles de la chanson Vérité par Hartigan
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Paroles de la chanson Vérité par Hartigan
Je connais le châtiment que ces bâtards mériteraient
C'est un vieux rêve comme le partage des richesses
Etre des hommes ne suffit plus à nous rendre fiers
L'humanité se nourrit de son propre fiel
On a jamais su délivrer nos messages
Ils ont rendu la vérité méconnaissable
Il n'y a que nous pour croire que les ténèbres ont du style
Pour l'enfer nous sommes le moins cher des combustibles
Ils sont nombreux à douter de mes aptitudes
J'tranche les fils, que le pantin se désarticule
J'ai entrevu mon avenir et putain quel bordel
C'est un vieux rêve comme le partage des richesses
Etre des hommes ne suffit plus à nous rendre fiers
L'humanité se nourrit de son propre fiel
On a jamais su délivrer nos messages
Ils ont rendu la vérité méconnaissable
Il n'y a que nous pour croire que les ténèbres ont du style
Pour l'enfer nous sommes le moins cher des combustibles
Ils sont nombreux à douter de mes aptitudes
J'tranche les fils, que le pantin se désarticule
J'ai entrevu mon avenir et putain quel bordel
Le destin n'est pas l'meilleur des chefs d'orchestres
On nous enseigne pas à repousser nos barrières
La méfiance est la plus efficace des gardiennes
Il y a le diable derrière ce qu'ils entreprennent
Plus de sang sur leurs mains que dans leurs propres veines
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte l'inévitable
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte le paysage
On nous enseigne pas à repousser nos barrières
La méfiance est la plus efficace des gardiennes
Il y a le diable derrière ce qu'ils entreprennent
Plus de sang sur leurs mains que dans leurs propres veines
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte l'inévitable
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte le paysage
Il est facile de choisir, d'avancer avec les yeux clos
Vivre imbu de soi même, persuadé de valoir mieux que l'autre
C'est pas l'oseille qui me rendra mature
J'écris l'ironie du sort comme si j'étais un putain de dramaturge
Puisque ma route est parsemée d'un tas d'ordures
J'userai ma santé à chanter notre infortune
Car la vie n'est qu'une funeste mise en scène
Le marchand de sable a épuisé sa clientèle
Elle est entière ma plume, elle n'est pas scénariste
Se questionne et passe pour une blasphématrice
Il y a mieux que de lâcher des couplets habiles
Si à trente piges t'as pas nourri de pauvres, t'as loupé ta vie
C'est sûr que j'en ferai pas tout un opéra
Vivre imbu de soi même, persuadé de valoir mieux que l'autre
C'est pas l'oseille qui me rendra mature
J'écris l'ironie du sort comme si j'étais un putain de dramaturge
Puisque ma route est parsemée d'un tas d'ordures
J'userai ma santé à chanter notre infortune
Car la vie n'est qu'une funeste mise en scène
Le marchand de sable a épuisé sa clientèle
Elle est entière ma plume, elle n'est pas scénariste
Se questionne et passe pour une blasphématrice
Il y a mieux que de lâcher des couplets habiles
Si à trente piges t'as pas nourri de pauvres, t'as loupé ta vie
C'est sûr que j'en ferai pas tout un opéra
Ma tumeur, comme la vôtre, est inopérable
Que la faucheuse nous attende pour le générique
Comme un corps échoué sur une plage de Tenerife
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte l'inévitable
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte le paysage
Que la faucheuse nous attende pour le générique
Comme un corps échoué sur une plage de Tenerife
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte l'inévitable
Meurtres, traitrises et crise financière
La vérité n'est plus notre héritage
Famine, morts et mépris gigantesque
Regarde ce monde et accepte le paysage
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