Paroles de la chanson Étoiles 2 par Falcko
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Paroles de la chanson Étoiles 2 par Falcko
J'viens de là où cent litrons font plus rêver que mille étoiles
Et puisque la chance n'est pas là, ben j'vais l'attendre
J'me rappelle les étoiles au plafond de ma chambre
J'regardais les autres, j'en voulais plus
J'ai croisé mes rêves endormi tous les soirs dans l'fond du bus
À huit piges, je me demande il est où le très haut
24 décembre, j'attends père Noël, son traîneau
On visait haut même si l'moral était bas
À treize piges, assis contre le mur sous le préau
Et puisque la chance n'est pas là, ben j'vais l'attendre
J'me rappelle les étoiles au plafond de ma chambre
J'regardais les autres, j'en voulais plus
J'ai croisé mes rêves endormi tous les soirs dans l'fond du bus
À huit piges, je me demande il est où le très haut
24 décembre, j'attends père Noël, son traîneau
On visait haut même si l'moral était bas
À treize piges, assis contre le mur sous le préau
Et j'me demande qu'est-ce que j'fous d'mal
Quinze ans plus tard, j'écris mes textes du Pullman
J'attends un coup de pouce ou que tout repousse
C'est moi j'cours pas parce qu'ils courent tous
Pendant que j'comptais les jours, la daronne comptait les retraits
J'pensais faire le tour du monde, j'ferais le tour de mes regrets
J'calcule les tarots du plan
Pour cicatriser faut du temps, pour grandir il faut du cran
J'visais l'étoile comme si j'étais quelqu'un
Comme si le monde me devait quelque chose
Et ces étoiles pour eux c'était peut-être rien
Mais pour moi elles faisaient juste quelques pauses
Quinze ans plus tard, j'écris mes textes du Pullman
J'attends un coup de pouce ou que tout repousse
C'est moi j'cours pas parce qu'ils courent tous
Pendant que j'comptais les jours, la daronne comptait les retraits
J'pensais faire le tour du monde, j'ferais le tour de mes regrets
J'calcule les tarots du plan
Pour cicatriser faut du temps, pour grandir il faut du cran
J'visais l'étoile comme si j'étais quelqu'un
Comme si le monde me devait quelque chose
Et ces étoiles pour eux c'était peut-être rien
Mais pour moi elles faisaient juste quelques pauses
J'croyais que le monde attendait que j'arrive pour changer
Pour l'instant j'ai 15 ans et je refourgue des 100g
Assis sur un banc, j'regarde le ciel d'un œil usé
À 16 piges, j'voulais un yacht, à 8 piges, une fusée
On a traîné avec des faux, courus après les fautes
J'ai vu mes potes tomber les uns après les autres, ouais
On fait la guerre car la paix en convalescence
Allez danse, je t'allume pendant que mon p'tit reuf met l'essence
J'me regarde et y a plus rien dans le miroir
Quand j'étais gosse, j'pensais qu'il suffisait d'y croire, moi
Pour l'instant j'ai 15 ans et je refourgue des 100g
Assis sur un banc, j'regarde le ciel d'un œil usé
À 16 piges, j'voulais un yacht, à 8 piges, une fusée
On a traîné avec des faux, courus après les fautes
J'ai vu mes potes tomber les uns après les autres, ouais
On fait la guerre car la paix en convalescence
Allez danse, je t'allume pendant que mon p'tit reuf met l'essence
J'me regarde et y a plus rien dans le miroir
Quand j'étais gosse, j'pensais qu'il suffisait d'y croire, moi
C'est quand tu brilles trop qu'on te nuit, ??? contenu
J'repense à ces nuits et toutes ces promesses non tenues
À ces perquises, les choses qu'on s'est permises
Ces étés qui disparaissent, ces hivers qui s'éternisent
Les années passent, première interpellation
Car quelques petites étoiles font pas des constellations
Pour fumer la vie, j'ai pas de larmes
Je pue tellement la défaite que même quand j'aimerais chialer j'ai pas de larmes
Les soucis m'arrosèrent, c'est souvent ça quand t'es trop fier
J'voulais être un héros mais la cape était trop chère
J'repense à ces nuits et toutes ces promesses non tenues
À ces perquises, les choses qu'on s'est permises
Ces étés qui disparaissent, ces hivers qui s'éternisent
Les années passent, première interpellation
Car quelques petites étoiles font pas des constellations
Pour fumer la vie, j'ai pas de larmes
Je pue tellement la défaite que même quand j'aimerais chialer j'ai pas de larmes
Les soucis m'arrosèrent, c'est souvent ça quand t'es trop fier
J'voulais être un héros mais la cape était trop chère
Petit j'parlais aux nuages, je leur racontais mes projets
Mais j'crois que maintenant j'ai plus l'âge
Pour faire du bif, j'en tuerai, sans accentuer
Mes mains dessinaient l'avenir sur les vitres embuée
On fera du neuf avec des gamos désossées
On sort pas d'HEC, ton corps en sang sur la chaussée
14-15 ans, lame de rasoir dans la chaussette
Le cœur est froid, y a que la rue pour le réchauffer
J'braillais jamais au téléphone
Tu leur donnes n'importe quel plavon, ils les foirent
Sans mettre les formes, je pensais que l'amour d'un rêve pouvait briser tous les sorts
Ça jobait tous les jours, on comptait tous les soirs
Mais j'crois que maintenant j'ai plus l'âge
Pour faire du bif, j'en tuerai, sans accentuer
Mes mains dessinaient l'avenir sur les vitres embuée
On fera du neuf avec des gamos désossées
On sort pas d'HEC, ton corps en sang sur la chaussée
14-15 ans, lame de rasoir dans la chaussette
Le cœur est froid, y a que la rue pour le réchauffer
J'braillais jamais au téléphone
Tu leur donnes n'importe quel plavon, ils les foirent
Sans mettre les formes, je pensais que l'amour d'un rêve pouvait briser tous les sorts
Ça jobait tous les jours, on comptait tous les soirs
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