Paroles de la chanson Corps météo par Elisa Erka
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Paroles de la chanson Corps météo par Elisa Erka
Tes yeux me racontent une histoire
Quand je les vois, quand je les vois
Ta peau me récite des poèmes
Quand je l'effleure du doigt, quand je l'effleure du doigt
Tes lèvres ont un p'tit goût de miel, de sel, je ne sais pas
Les paysages défilent quand elles se posent sur moi
Ton corps est une météo
Il fait beau, il fait chaud et soudain c'est le chaos
Et même, et même, et même si tu t'en vas
Tu ne me le prend pas, tu ne me le prends pas
C'que j'aime, c'que j'aime, c'que j'aime, ça c'est avec moi
Quand je les vois, quand je les vois
Ta peau me récite des poèmes
Quand je l'effleure du doigt, quand je l'effleure du doigt
Tes lèvres ont un p'tit goût de miel, de sel, je ne sais pas
Les paysages défilent quand elles se posent sur moi
Ton corps est une météo
Il fait beau, il fait chaud et soudain c'est le chaos
Et même, et même, et même si tu t'en vas
Tu ne me le prend pas, tu ne me le prends pas
C'que j'aime, c'que j'aime, c'que j'aime, ça c'est avec moi
Même si tu n'es plus là et même si tu t'en vas,
eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Ton cœur est une boîte à musique
Quand je l'écoute, quand je l'écoute
Tes mains, un feu de cheminée
Qui me réchauffent quand elles me touchent
eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Ton cœur est une boîte à musique
Quand je l'écoute, quand je l'écoute
Tes mains, un feu de cheminée
Qui me réchauffent quand elles me touchent
Ton dos est un grand monument
Il est long, il est grand, il est fort, il est puissant
Ton nom m'évoque une chanson
Qui me berce, qui me perce, c'est un peu la confusion
Et même, et même, et même si je deviens
L'inconnue, l'étrangère, tu ne me prendras rien
Tu m'aimes, tu m'aimes, tu m'aimes, ça ne marche pas
Comment ces mots-là sont-ils venus vers moi?
Eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Il est long, il est grand, il est fort, il est puissant
Ton nom m'évoque une chanson
Qui me berce, qui me perce, c'est un peu la confusion
Et même, et même, et même si je deviens
L'inconnue, l'étrangère, tu ne me prendras rien
Tu m'aimes, tu m'aimes, tu m'aimes, ça ne marche pas
Comment ces mots-là sont-ils venus vers moi?
Eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Tes yeux me racontent une histoire
Quand je les vois, quand je les vois
Ta peau me récite des poèmes
Quand je l'effleure du doigt, quand je l'effleure du doigt
Te lèvres ont un p'tit goût de miel, de sel, je ne sais pas
Les paysages défilent quand elles se posent sur moi
Ton corps est une météo
Il fait beau, il fait chaud et soudain c'est le chaos
Ton corps est une météo
Qui se boit froid, qui se boit chaud
Ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps est une météo
Qui se boit froid, qui se boit chaud
Ton corps, encore
Encore, encore, encore, ouh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah-pa-eh
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
Oui-ah-pa-eh, oui-ah, ah
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