Paroles de la chanson Y'a Des Jours Comme Ça par Bazz Phazz
Auteurs: Tanguy Quivrin,Abdel Abach
Compositeurs: Tanguy Quivrin,Romain Casciani,Yann Chapoutier,Giovanni Colletti,Anatole Zephir
Editeurs: Wtpl Music
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Paroles de la chanson Y'a Des Jours Comme Ça par Bazz Phazz
Y’a des jours comme ça...
J’ai le cœur qui spleen et la gorge qui me serre
L’estomac qui se plie, un genou posé à terre
Les tripes qui se noue et ma gouaille dans la valise
Le blues polaire d’un ours seul sur sa banquise
Je traine les pieds et ça frise le ridicule
Quand je fini par me répandre en conciliabules
Que je me livre sur une épaule de l’autre sexe
Ca émeut les femmes mais ça les fatigue... demandes à mes ex
On se donne du mal et parfois on s’en tire
Avec le moral dans les poches
On ricoche mais faut se dire
Le bonheur est aussi proche du meilleur que du pire
J’ai le cœur qui spleen et la gorge qui me serre
L’estomac qui se plie, un genou posé à terre
Les tripes qui se noue et ma gouaille dans la valise
Le blues polaire d’un ours seul sur sa banquise
Je traine les pieds et ça frise le ridicule
Quand je fini par me répandre en conciliabules
Que je me livre sur une épaule de l’autre sexe
Ca émeut les femmes mais ça les fatigue... demandes à mes ex
On se donne du mal et parfois on s’en tire
Avec le moral dans les poches
On ricoche mais faut se dire
Le bonheur est aussi proche du meilleur que du pire
Le boss des cafards, bien calé au fond du bide
Le genre de caïds qui se parfume à l’insecticide
Un cumulus en satellite au dessus de la tête
Et je me pète l’orteil sur la table... putain d’arête
Y’a pas de raison, j’ai même tout pour être joyeux
Tout ça ne dure qu’un temps, demain ça ira mieux
Y’a pas de problème, pas de souci, y’a même pas de nœud
Mais ça me déprime de savoir que je ne suis pas le plus malheureux
Y’a des jours comme ça...
Coûte que coûte, faudra bien que la journée se passe
Même levé du pied gauche, enfilé ses godasses
Le genre de caïds qui se parfume à l’insecticide
Un cumulus en satellite au dessus de la tête
Et je me pète l’orteil sur la table... putain d’arête
Y’a pas de raison, j’ai même tout pour être joyeux
Tout ça ne dure qu’un temps, demain ça ira mieux
Y’a pas de problème, pas de souci, y’a même pas de nœud
Mais ça me déprime de savoir que je ne suis pas le plus malheureux
Y’a des jours comme ça...
Coûte que coûte, faudra bien que la journée se passe
Même levé du pied gauche, enfilé ses godasses
« Cataclope » au galop, filer entre les gouttes de flotte
Même si j’ai pas mis mon chapeau, que je suis sorti sans mes clopes « I’m a poor lonesome cowboy »
Un air entêtant et tenace sous un temps de chien
Y’a vraiment pas de justice, moi qui préfère les indiens
On se donne du mal, on rêve de pouvoir fuir
A pied, à cheval, sans sacoche
Les mains dans les poches, on se tire
L’horizon comme seul ébauche de notre avenir
Y’a des jours comme ça, je sais, c’est pas l’enfer
Mais quand je passe, ce putain de feu vire jamais au vert Aucun drame, juste un caillou dans ma grôle
Si je contemple mon bonheur, c’est sûr demain j’en rigole
Même si j’ai pas mis mon chapeau, que je suis sorti sans mes clopes « I’m a poor lonesome cowboy »
Un air entêtant et tenace sous un temps de chien
Y’a vraiment pas de justice, moi qui préfère les indiens
On se donne du mal, on rêve de pouvoir fuir
A pied, à cheval, sans sacoche
Les mains dans les poches, on se tire
L’horizon comme seul ébauche de notre avenir
Y’a des jours comme ça, je sais, c’est pas l’enfer
Mais quand je passe, ce putain de feu vire jamais au vert Aucun drame, juste un caillou dans ma grôle
Si je contemple mon bonheur, c’est sûr demain j’en rigole
Y’a des jours comme ça, tout juste bon à se lamenter
Et vu la misère du monde, je me jetterais bien le premier pavé C’est l’histoire de la rage de dents et du milliardaire
Qui a beau amasser les dollars mais qui peut pas s’en défaire
Y’a des jours comme ça...
Et vu la misère du monde, je me jetterais bien le premier pavé C’est l’histoire de la rage de dents et du milliardaire
Qui a beau amasser les dollars mais qui peut pas s’en défaire
Y’a des jours comme ça...
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