Paroles de la chanson Iésop par Baolo

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Paroles de la chanson Iésop par Baolo

Mes mots dressent des étoiles étincelantes
Mais maitresse m'afflige une toile étant scellée
Marre de s'adresser aux dieux, j'ai pitié
Mener par l'adresse, le cheval ailé formé d'étain se lance
La mort déteint sur l'humain, le venin goutte et floute
La Peur de déteindre, sur-humain venez gouttez la flasque

Un élixir surpuissant surpassant toute autre drogue
Des camés clamant leur haine sur les passants qui rôdent et voguent
Hey toi ! T'as beau être bouddha la vie t'en a qu'une
Faut pas croire, même le dalaï-lama a des lacunes
Je me sens comme un poète refoulé
L'amour rend muet
Pire qu'un aveugle fasse au vide, je me sens vivre mais
Je suis passionné, trop profond, j'en ai perdu les mots...
J'suis toujours au stade con où je recherche le mémo

Si tu te taules tous les soirs, c'est que ton âme est prisonnière de ton corps
Musicienne folle de ré-soi, et tu aimes jouer de ton cor

Mes sentiments sont des étoiles qui virevoltent et tanguent
Rappelle moi que je repasse sur ta langue
À l'aube du jour, la camélia se fane
Aux roses, j'épouse la camérawoman
Sur le sommet du Mont Fuji
Se trouve ma Cameron Diaz ou peut-être ma Camerounaise

Une belle poésie, mes lèvres frémissent
Je sens les mots sorti de ta bouche qui s'immiscent
Encore une belle nuit, sous une pluie d'étoiles j'entends l'eau qui ruisselle
Enveloppés dans nos toiles, des peintures comme des cadenas qui nous scellent

Un corps de sirène en relief
Des bas reliefs reliés qui unis l'homme a là mer
C'est pas ma bouche qui construit ces mots rognés et reniés à la mains
Du rouge, un homme mort tard traité de fou
Du bleu, un océan un peu vague teinté flou

Un rassemblement dans la nuit noire
Des macabés couchent tard, dur de l'os, parsemés tôt
Mais accablé par ces mediatardés, le tête hors de la fosse mais les pieds dans l'eau

Vieux pirates, sur cette terre il n'y a plus rien à l'intérieur
Il y a que des corsaires carcans
Tu sais que le corps n'est qu'un carquois
Œil piraté, un cyborg à la Elvis bon fond et fort bagarreur
Une protection parce qu'au fond ce qui pique c'est le cœur
De l'eau coule
Il goute la foule
Je m'en vais je m'en vais j'ai montré que j'avais les boules

Mes mots dressent des étoiles étincelantes
Mais maitresse m'afflige une toile étant scellé
Marre de s'adresser aux dieux, j'ai pitié
Mener par l'adresse, le cheval ailé formé d'étain se lance
La mort déteint sur l'humain, le venin goutte et floute
La Peur de déteindre, sur-humain venez gouttez la flasque, venez goutez la flasque...

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