Paroles de la chanson Losers (Traduction) par Balthazar
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Paroles de la chanson Losers (Traduction) par Balthazar
Tu es là avec moi, pour le moment
Mais je sens que vas repartir
Tu tiens une valise en cuir marron
Que tu n'as pas pris la peine de défaire
J'ai attaché mes chaussures entre elles
Puis j'ai essayé de m'en aller
J'ai fait le junkie tout l'été
Mais l'automne sera là d'un jour à l'autre
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
Les étoiles décident de l'avenir
Je serais bien incapable de les déchiffrer
Mais je sens que vas repartir
Tu tiens une valise en cuir marron
Que tu n'as pas pris la peine de défaire
J'ai attaché mes chaussures entre elles
Puis j'ai essayé de m'en aller
J'ai fait le junkie tout l'été
Mais l'automne sera là d'un jour à l'autre
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
Les étoiles décident de l'avenir
Je serais bien incapable de les déchiffrer
Mais je veux que l'univers m'aime
J'écris des chansons tous les jours
Il y a une fille qui chante dans sa brosse à cheveux
Il y a un patron de la mafia dans chaque homme
J'aimerais pouvoir chanter « tralala »
Comme seul Paolo Conte peut le faire
Bien
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
J'écris des chansons tous les jours
Il y a une fille qui chante dans sa brosse à cheveux
Il y a un patron de la mafia dans chaque homme
J'aimerais pouvoir chanter « tralala »
Comme seul Paolo Conte peut le faire
Bien
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
Pa-pa-pam
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
Pa-pa-pam
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À quel point, à quel point on se sent, perdants pour l'instant
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À quel point, à quel point on se sent, perdants à l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
Perdants à l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
Perdants à l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
(Pa-pa-pam)
À l'aube de quelque chose de grand
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