Paroles de la chanson Les Profondeurs par Louis Ville
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Paroles de la chanson Les Profondeurs par Louis Ville
Perdu, perplexe,
je m'aventure en eaux troublantes
aurai-je pied ou me noierai-je
nos fonds marins sont des abysses
et nos secrets y vivent bien,
trop bien diront certains, trop bien.
L'obscurité de nos grands fonds
charrie le sel de nos émois
Et dans ces plaines si stériles
octroyons-nous des jeux puérils
Puissions-nous voir la lumière
sur notre voûte s'attarder
Et j'embrigade des passions
je m'aventure en eaux troublantes
aurai-je pied ou me noierai-je
nos fonds marins sont des abysses
et nos secrets y vivent bien,
trop bien diront certains, trop bien.
L'obscurité de nos grands fonds
charrie le sel de nos émois
Et dans ces plaines si stériles
octroyons-nous des jeux puérils
Puissions-nous voir la lumière
sur notre voûte s'attarder
Et j'embrigade des passions
des tentacules d'émotions.
Pourquoi ce mal, pourquoi ces pleurs ?
le souffle court, tant de pressions
le mal de vous, des profondeurs.
Pour cet instant, pour ce bonheur.
Engageons-nous belle méduse
l'encre de Chine et les coraux
scelleront nos vies de mots à maux
Seuls nous serions bien inutiles
alors qu'ensemble nous sommes une île
Puissions-nous voir la lumière
sur notre voûte s'attarder
Pourquoi ce mal, pourquoi ces pleurs ?
le souffle court, tant de pressions
le mal de vous, des profondeurs.
Pour cet instant, pour ce bonheur.
Engageons-nous belle méduse
l'encre de Chine et les coraux
scelleront nos vies de mots à maux
Seuls nous serions bien inutiles
alors qu'ensemble nous sommes une île
Puissions-nous voir la lumière
sur notre voûte s'attarder
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