Paroles de la chanson Mais elle est là par Manset
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Paroles de la chanson Mais elle est là par Manset
C'est souvent le matin
C'est rarement le soir
Je me souviens d'un mot
Je retourne m'asseoir
Mais elle est là
Comme quand nous étions deux
A me toucher le dos
A me toucher les reins
A faire comme si
Il ne c'était rien, passe, passé
Qu'une autre qu'elle m'avait enlacé
Qu'une autre qu'eIle m'avait embrassé
Fait fondre comme une crème glacée
Que sa langue aurait
Que sa paume aurait caressée
C'est rarement le soir
Je me souviens d'un mot
Je retourne m'asseoir
Mais elle est là
Comme quand nous étions deux
A me toucher le dos
A me toucher les reins
A faire comme si
Il ne c'était rien, passe, passé
Qu'une autre qu'elle m'avait enlacé
Qu'une autre qu'eIle m'avait embrassé
Fait fondre comme une crème glacée
Que sa langue aurait
Que sa paume aurait caressée
C'est souvent le matin
C'est rarement le Soir
C'est lorsque le décide
Ma méchante mémoire
Mais elle est là
A me toucher le dos
A me toucher les mains
Comme s'iI ne s'était rien, passé, passe
Mais les gens vous diront que c'est assez
Qu'on ne peut pas vivre dans le passé
De tous ces souvenirs amassés
Que sa gorge aurait
Que sa paume aurait caresses
C'est souvent le matin
C'est rarement le soir
C'est lorsque le déclare
C'est rarement le Soir
C'est lorsque le décide
Ma méchante mémoire
Mais elle est là
A me toucher le dos
A me toucher les mains
Comme s'iI ne s'était rien, passé, passe
Mais les gens vous diront que c'est assez
Qu'on ne peut pas vivre dans le passé
De tous ces souvenirs amassés
Que sa gorge aurait
Que sa paume aurait caresses
C'est souvent le matin
C'est rarement le soir
C'est lorsque le déclare
Ma méchante mémoire
Comme quand nous étions deux
A me toucher le clos
A me toucher les yeux
A faire comme si
Il ne s'était rien, passé, passé
Qu'une autre qu'elle m'aurait vu passer
Comme ce tas de feuilles ramassées
Oui tourne et vole après qu'il fut laissé
Qu'une autre tendrement m'aurait serré
Et de ses ongles m'aurait lacéré
Comme une pique, une pointe acérée
Que sa langue aurait
Que sa paume aurait caressée
Mais elle est là
A me toucher les mains
A faire comme si
Comme quand nous étions deux
A me toucher le clos
A me toucher les yeux
A faire comme si
Il ne s'était rien, passé, passé
Qu'une autre qu'elle m'aurait vu passer
Comme ce tas de feuilles ramassées
Oui tourne et vole après qu'il fut laissé
Qu'une autre tendrement m'aurait serré
Et de ses ongles m'aurait lacéré
Comme une pique, une pointe acérée
Que sa langue aurait
Que sa paume aurait caressée
Mais elle est là
A me toucher les mains
A faire comme si
Il ne s'était rien, passé
Qu'une autre qu'elle m'aurait enlacé
De sa mémoire et puis laisse glisser
Comme une simple robe délacée
Dans une chambre
Ou dans le noir, blessé, blessé, blessé
Comme une simple robe déchirée
Qu'une autre qu'elle m'aurait enlacé
De sa mémoire et puis laisse glisser
Comme une simple robe délacée
Dans une chambre
Ou dans le noir, blessé, blessé, blessé
Comme une simple robe déchirée
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