Paroles de la chanson L'espérance par Manset
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Paroles de la chanson L'espérance par Manset
Dans un train qui venait
Des montagnes au-delà de tout ce que tout le monde
connaît
Et peut-être même plus loin que le Fuji Yama japonais
Avec sa pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
ll a dit je m'appelle le crabe aux pinces d'or
Et dans le wagon, tout l'monde, tout l'monde dort
On va toucher à la grande citadelle du nord
C'était à la frontière
Sous une grande, une grande. une grande moustiquaire
Je le revois comme si c'était hier,
Des montagnes au-delà de tout ce que tout le monde
connaît
Et peut-être même plus loin que le Fuji Yama japonais
Avec sa pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
ll a dit je m'appelle le crabe aux pinces d'or
Et dans le wagon, tout l'monde, tout l'monde dort
On va toucher à la grande citadelle du nord
C'était à la frontière
Sous une grande, une grande. une grande moustiquaire
Je le revois comme si c'était hier,
A faire des bulles au fond de sa théière
Il a dit,
Il a dit qu'iI se rendait aux antipodes
Le grand consortium des gastéropodes
Où tout l'monde doit avoir une méduse à soi
Et même la petite pochette, la petite pochette en soie
Avec la pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
Il a dit,
Il a dit je m'appelle le, le crabe aux pinces d'or
Et dans le wagon, tout Ie monde, tout l'monde dort
Tout l'monde est descendu à Maripasoula
Et même moi je ne savais plus ce que je faisais là
Sur son crâne était posée une anémone
Il a dit,
Il a dit qu'iI se rendait aux antipodes
Le grand consortium des gastéropodes
Où tout l'monde doit avoir une méduse à soi
Et même la petite pochette, la petite pochette en soie
Avec la pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
Il a dit,
Il a dit je m'appelle le, le crabe aux pinces d'or
Et dans le wagon, tout Ie monde, tout l'monde dort
Tout l'monde est descendu à Maripasoula
Et même moi je ne savais plus ce que je faisais là
Sur son crâne était posée une anémone
Et moi-même en personne si je voulais je pouvais le
suivre
Avec ma p'tite petite, ma p'tite valise, ma p'tite valise
en cuivre
Avec sa pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
Le peu d'amour à ceux qui n'en ont pas
Qui marchaient dans la rue, suivaient ses pas
C'était a la frontière. des océans
Et lui qui restait là, comme ça, plante sur son séant
Une grande langue entre ses dents se balançait
Et parfois quand le train ralentissait
Contre ce grand crustacé
On était tous entassés
suivre
Avec ma p'tite petite, ma p'tite valise, ma p'tite valise
en cuivre
Avec sa pince droite il fredonnait
Avec la gauche aux enfants, il donnait
Le peu d'amour à ceux qui n'en ont pas
Qui marchaient dans la rue, suivaient ses pas
C'était a la frontière. des océans
Et lui qui restait là, comme ça, plante sur son séant
Une grande langue entre ses dents se balançait
Et parfois quand le train ralentissait
Contre ce grand crustacé
On était tous entassés
Sur son crâne était pose une anémone
Il a dit
Pourtant autour de lui tous les enfants, dansaient
Il avait contre lui madame de Valencay
Et parfois quand le train, le train ralentissait
Il lui tenaient la main, oui
Quelques clochettes de muguet tombaient
Puis il s'est endormi comme un bébé
On a mis sous sa tête un immense oreiller
C'était a la frontière des confins, des confins du monde
Que l'on cherche parfois cent fois, sur la mappemonde
Où même les racines carrées quelquefois sont rondes
ll a dit qu'iI se rendait aux antipodes
Il a dit
Pourtant autour de lui tous les enfants, dansaient
Il avait contre lui madame de Valencay
Et parfois quand le train, le train ralentissait
Il lui tenaient la main, oui
Quelques clochettes de muguet tombaient
Puis il s'est endormi comme un bébé
On a mis sous sa tête un immense oreiller
C'était a la frontière des confins, des confins du monde
Que l'on cherche parfois cent fois, sur la mappemonde
Où même les racines carrées quelquefois sont rondes
ll a dit qu'iI se rendait aux antipodes
Le grand consortium des gastéropodes
Et mol-même en personne si je voulais. je pouvais le
suivre
Avec ma p'tite petite, ma p'tite valise, ma p'tite valise
en cuivre
Des montagnes au-delà de tout ce que le monde connaît
Disait-il en enfilant son pyjama javanais
Disait-il en enfilant son pyjama japonais
03 - L'espérance
Une journée toute pareille aux autres va commencer
sans un festin, celle du siècle vingt-et-un.
Je vous le dis, je suis couché, dans le blé de ce champs
Et mol-même en personne si je voulais. je pouvais le
suivre
Avec ma p'tite petite, ma p'tite valise, ma p'tite valise
en cuivre
Des montagnes au-delà de tout ce que le monde connaît
Disait-il en enfilant son pyjama javanais
Disait-il en enfilant son pyjama japonais
03 - L'espérance
Une journée toute pareille aux autres va commencer
sans un festin, celle du siècle vingt-et-un.
Je vous le dis, je suis couché, dans le blé de ce champs
qui me couve et me berce, lorsque j'étais petit je m'y
rendais déjà, or il n'a pas changé, et qu'y poussent
le lait, l'ortie, l'orgeat,, tout cela m'est égal, qui ne me
brûle pas, quand se soulève en moi, le chant, la mélodie
du miracle qui va et me pénètre ainsi que dans un
océan, la vague va.
L'espérance, c'est comme un relais
Qu'on passe à son voisin
Tout le village danse, on mange ou raisin
Et les petites filles ont mis des robes blanches
Tout le monde est neveu, tout le monde est cousin
Mais voilà qu'une bombe tombe sur le clocher
rendais déjà, or il n'a pas changé, et qu'y poussent
le lait, l'ortie, l'orgeat,, tout cela m'est égal, qui ne me
brûle pas, quand se soulève en moi, le chant, la mélodie
du miracle qui va et me pénètre ainsi que dans un
océan, la vague va.
L'espérance, c'est comme un relais
Qu'on passe à son voisin
Tout le village danse, on mange ou raisin
Et les petites filles ont mis des robes blanches
Tout le monde est neveu, tout le monde est cousin
Mais voilà qu'une bombe tombe sur le clocher
Quelques morts, des blessés
Et la cloche qui sonne
Je le vois ce dessin, annonciateur de quoi, de la folie ?
Oui fait les hommes sages au moment de leur lit et
livre ce message, que le passé, là, aujourd'hui, incite
à se tenir vigoureux, immobile, comme un petit insecte
immensément habite à creuser son espace dans l'écorce
du monde.
Une journée de neige, toute pareille aux autres
Et l'horloge du temps tourne dans l'autre sens
L'espérance, la voilà qui revient
Et de grandes brassées de fleurs sont à son cou
Et la cloche qui sonne
Je le vois ce dessin, annonciateur de quoi, de la folie ?
Oui fait les hommes sages au moment de leur lit et
livre ce message, que le passé, là, aujourd'hui, incite
à se tenir vigoureux, immobile, comme un petit insecte
immensément habite à creuser son espace dans l'écorce
du monde.
Une journée de neige, toute pareille aux autres
Et l'horloge du temps tourne dans l'autre sens
L'espérance, la voilà qui revient
Et de grandes brassées de fleurs sont à son cou
Un cerceau à la main elle prétend que demain
C'est à nouveau la fête
Et nous sommes restes dans ce feu de Saint-Jean
Tout doucement nous obligeant
À nous serrer plus fort, nous caresser
L'espérance a donne le trousseau qu'elle avait
L'espérance a donne
Tout le village danse,
Et les petites filles ont mis des robes blanches
C'est un petit cadeau qu'on donne et qu'on oublie
Une rangée de perles, des bonbons à l'anis
L'espérance, à petit pas fait son travail
Les vieux comme les jeunes se tiennent tous la main
C'est à nouveau la fête, les liserons et les lilas
Et les petites filles ont mis des robes blanches
C'est à nouveau la fête
Et nous sommes restes dans ce feu de Saint-Jean
Tout doucement nous obligeant
À nous serrer plus fort, nous caresser
L'espérance a donne le trousseau qu'elle avait
L'espérance a donne
Tout le village danse,
Et les petites filles ont mis des robes blanches
C'est un petit cadeau qu'on donne et qu'on oublie
Une rangée de perles, des bonbons à l'anis
L'espérance, à petit pas fait son travail
Les vieux comme les jeunes se tiennent tous la main
C'est à nouveau la fête, les liserons et les lilas
Et les petites filles ont mis des robes blanches
On aimerait chacune, les embrasser
Mais tout autour exhalent les
Parterres et les pâturages
Quelques morts, des blessés
Et la cloche qui sonne
Et tout est dévasté
L'espérance
Dans ce village était la liberté, et tout est dévasté
Quelques morts, et la cloche qui sonne
Dans ce village
A un tir d'arbalète
Et le renard et la belette
Entre les murs et jeunes fiançailles
Les lumières du dehors
Mademoiselle allait de son pas désinvolte
Là-bas, à quelques voltes
Mais voilà qu'une bombe tombe
Quelques morts, des blessés
Et je suis reparti
Comme un petit insecte immensément habile
à creuser son espace dans l'écorce du monde
Mais tout autour exhalent les
Parterres et les pâturages
Quelques morts, des blessés
Et la cloche qui sonne
Et tout est dévasté
L'espérance
Dans ce village était la liberté, et tout est dévasté
Quelques morts, et la cloche qui sonne
Dans ce village
A un tir d'arbalète
Et le renard et la belette
Entre les murs et jeunes fiançailles
Les lumières du dehors
Mademoiselle allait de son pas désinvolte
Là-bas, à quelques voltes
Mais voilà qu'une bombe tombe
Quelques morts, des blessés
Et je suis reparti
Comme un petit insecte immensément habile
à creuser son espace dans l'écorce du monde
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