Paroles de la chanson Sperenza par Claudio Capéo
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Paroles de la chanson Sperenza par Claudio Capéo
J'ai vu un carton posé là, un peu à plat sur le bitume
Quelqu'un m'a dit que c'était un matelas qu'on leur tire sur le nocturne
J'ai vu des hommes qui se battaient et puis d'autres qui se taisaient
Moi j'sais plus faire la différence entre la guerre et le silence
J'ai vu des immeubles qui poussaient et des arbres qui tombaient
Et puis des vieux qui me disaient que ça devient dur en été
J'ai vu des regards vides devant des tentes déchirées
Et puis des oiseaux ivres face au calme des cyprès
Quelqu'un m'a dit que c'était un matelas qu'on leur tire sur le nocturne
J'ai vu des hommes qui se battaient et puis d'autres qui se taisaient
Moi j'sais plus faire la différence entre la guerre et le silence
J'ai vu des immeubles qui poussaient et des arbres qui tombaient
Et puis des vieux qui me disaient que ça devient dur en été
J'ai vu des regards vides devant des tentes déchirées
Et puis des oiseaux ivres face au calme des cyprès
Et j'ai vu ta gueule d'ange qui me disait
Papa on fait comment, on fait comme si de rien
Regarde les yeux de maman, ce sont des pinceaux
À rendre la vie bien plus belle
Allez prends donc deux trois couleurs et viens on fait une aquarelle
Y a un soleil qui est un peu gris, viens on lui redonne son jaune d'antan
Ce n'est pas des bombes là, regarde ce sont des cerfs volants
Car du bout de ta mine, tu peux tout refaire
Rembobiner le film, rallumer la lumière
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras au milieu de ces fous
C'est pas une poésie que d'y croire jusqu'au bout
Sperenza, Sperenza
Papa on fait comment, on fait comme si de rien
Regarde les yeux de maman, ce sont des pinceaux
À rendre la vie bien plus belle
Allez prends donc deux trois couleurs et viens on fait une aquarelle
Y a un soleil qui est un peu gris, viens on lui redonne son jaune d'antan
Ce n'est pas des bombes là, regarde ce sont des cerfs volants
Car du bout de ta mine, tu peux tout refaire
Rembobiner le film, rallumer la lumière
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras au milieu de ces fous
C'est pas une poésie que d'y croire jusqu'au bout
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras et puis même à genoux
On peut crier l'espoir, une larme sur la joue
J'ai vu trop de femmes dans une justice retardataire
Qui ont dit qu'un murmure c'est déjà bien mieux que se taire
J'ai vu des phrases tordues, ponctuées de faux rires
Et puis des lèvres mordues pour éviter de tout dire
Et j'ai vu trop de crabes qui se logent dans des seins
Et dans les corps des nôtres, pour un raccourcir le destin
J'ai vu trop de drames mais je les cache à tes grands yeux
Si tu vois que tout crame qui croira au merveilleux
On peut crier l'espoir, une larme sur la joue
J'ai vu trop de femmes dans une justice retardataire
Qui ont dit qu'un murmure c'est déjà bien mieux que se taire
J'ai vu des phrases tordues, ponctuées de faux rires
Et puis des lèvres mordues pour éviter de tout dire
Et j'ai vu trop de crabes qui se logent dans des seins
Et dans les corps des nôtres, pour un raccourcir le destin
J'ai vu trop de drames mais je les cache à tes grands yeux
Si tu vois que tout crame qui croira au merveilleux
Toi tu prendras le moche
Que trop souvent on souligne et t'en fera une peinture
Qui fera honneur au sublime, au beau, au rare
Au simple, à la bravoure, aux faiblesses dignes, à l'amour
Y a un soleil qui est un peu gris, viens on lui redonne son jaune d'antan
Ce n'est pas des bombes là, regarde ce sont des cerfs volants
Car du bout de ta mine, tu peux tout refaire
Rembobiner le film, rallumer la lumière
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras au milieu de ces fous
C'est pas une poésie que d'y croire jusqu'au bout
Que trop souvent on souligne et t'en fera une peinture
Qui fera honneur au sublime, au beau, au rare
Au simple, à la bravoure, aux faiblesses dignes, à l'amour
Y a un soleil qui est un peu gris, viens on lui redonne son jaune d'antan
Ce n'est pas des bombes là, regarde ce sont des cerfs volants
Car du bout de ta mine, tu peux tout refaire
Rembobiner le film, rallumer la lumière
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras au milieu de ces fous
C'est pas une poésie que d'y croire jusqu'au bout
Sperenza, Sperenza
Toi tu te lèveras et puis même à genoux
On peut crier l'espoir, une larme sur la joue
Et si mes yeux de grands ne voient que feu et cendres
De ton regard d'ange, tu vas tout m'apprendre
Je ne suis qu'un père, je ne suis qu'un fou
Au final, c'est toi qui m'apprendras tout
Et si mes yeux de grands ne voient que feu et cendres
De ton regard d'ange, tu vas tout m'apprendre
L'amour, le courage, tout ça, tu me diras
Papa, Sperenza
Toi tu te lèveras et puis même à genoux
On peut crier l'espoir, une larme sur la joue
Et si mes yeux de grands ne voient que feu et cendres
De ton regard d'ange, tu vas tout m'apprendre
Je ne suis qu'un père, je ne suis qu'un fou
Au final, c'est toi qui m'apprendras tout
Et si mes yeux de grands ne voient que feu et cendres
De ton regard d'ange, tu vas tout m'apprendre
L'amour, le courage, tout ça, tu me diras
Papa, Sperenza
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