Paroles de la chanson 37 Rue Lejeune par Beautes Vulgaires
Auteurs: Samuel,Nicolas Liorit,Alexandre Mir,Jean-Christain Gambellin,Clement Dirat
Compositeurs: Samuel,Nicolas Liorit,Alexandre Mir,Sébastion Robin,Jean-Christain Gambellin,Clement Dirat
Editeurs: Warner Chappell Music France
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Paroles de Samuel DUMONT, Nicolas LIORIT, Alexandre MIR, Jean-christain GAMBELLIN, Clement DIRAT
Musique de Samuel DUMONT, Nicolas LIORIT, Alexandre MIR, Sébastion ROBIN, Jean-christain GAMBELLIN, Clement DIRAT
© WARNER CHAPPELL MUSIC FRANCE - 2007
Paroles de la chanson 37 Rue Lejeune par Beautes Vulgaires
Dans son meublé au fond d'la cour
A l'heure où les cadres déjeunent
Elle s'enferme à double tour
Et seule une douce lumière
Vient lécher ses contours
Au 37 d'la rue Lejeune
Dans son meublé au fond d'la cour
A l'heure où les cadres déjeunent
Elle s'enferme à double tour
Au 37, personne ne sonne
Pas de risque d'être dérangé
Elle prend soin d'être anonyme
Dans cette urbaine immensité
Au 37, quand midi sonne
Elle aime à se transformer
En pin-up perruque blonde
Sous-vêtements sexy à souhait
Au 37 d'la rue Lejeune
Dans son meublé au fond d'la cour
A l'heure où les cadres déjeunent
Elle s'enferme à double tour
Et seule une douce lumière
Vient lécher ses contours
J'aime et j'adore
Tous ses gestes mesurés
J'aime oui, j'adore
Son exquise féminité
Celui qui peut en profiter
Profiter de sa patronne
De ses formes exacerbées
Au 37, personne ne se doute
De ce qui peut s'y passer
À part moi qui reste de marbre
Le regard figé
Être un cabot de plâtre
N'est pas un statut convoité
Je voudrais tant quelques secondes
De cette enveloppe me libérer
J'aime et j'adore, tous ses gestes mesurés
J'aime, oui j'adore
Son exquise féminité
La souplesse de son poignet
J'aime oui j'adore
En avoir l'exclusivité
Au 37 dans la pénombre
Personne ne sait ce qu'il peut s'y passer
Et moi, moi à loisir
Je peux en profiter
Au 37 d'la rue Lejeune
Dans son meublé au fond d'la cour
A l'heure où les cadres déjeunent
Elle s'enferme à double tour
Et seule une douce lumière
Vient lécher ses contours
J'aime et j'adore
J'aime, oui j'adore
Je peux toujours en profiter
Au trente-sept d'la rue Lejeune
Dans son meublé au fond d'la cour
A l'heure où les cadres déjeunent
Elle s'enferme à double tour
Et seule une douce lumière
Vient lécher ses contours
J'aime et j'adore,
Tous ses gestes mesurés
J'aime oui j'adore
Son exquise féminité
J'aime et j'adore
La souplesse de son poignet
J'aime oui j'adore
J'aime et j'adore
La souplesse de son poignet
J'aime oui j'adore
Je peux toujours en profiter
J'aime et j'adore
J'aime oui j'adore
