Paroles de la chanson Libre par Damien Saez
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Paroles de la chanson Libre par Damien Saez
Poing levé toujours face au capital fasciste
Aux miradors sociaux qui cherchent un humanisme
Si j’ai que mes chansons, pour mon peuple qui lutte
Si nous sommes frère ici que du triste pognon
De ce pays faux cul, de ce peuple de cons
Si nous n’avons pour nous que de prendre les armes
Si la meute est toujours abreuvée de purin
Des sources de venin qui aiment bien téter le sein
De peuples d’animaux qui marchent sur des fleurs
Les troupeaux des bestiaux, les troupeaux de son cœur
Au culte des Insta, de nos inexistences
Aux miradors sociaux qui cherchent un humanisme
Si j’ai que mes chansons, pour mon peuple qui lutte
Si nous sommes frère ici que du triste pognon
De ce pays faux cul, de ce peuple de cons
Si nous n’avons pour nous que de prendre les armes
Si la meute est toujours abreuvée de purin
Des sources de venin qui aiment bien téter le sein
De peuples d’animaux qui marchent sur des fleurs
Les troupeaux des bestiaux, les troupeaux de son cœur
Au culte des Insta, de nos inexistences
Dis pourquoi je ne vois que les vides de l’absence
Pourquoi ça sent la mort, de la grande enculade
Pourquoi ça sent le soufre qui monte aux barricades
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
Si nous postons nos vies sur nos tristes photos
Pour qu’ils aillent faire du blé sur les tristes ghettos
De ces tristes ignorances, apanage de l’Homme
Si l’on se fait violer sur autant qu’on respire
Et si ils se font sauter juste pour en finir
Si c‘est les moyen-âge, au fond des téléphones
Pourquoi ça sent la mort, de la grande enculade
Pourquoi ça sent le soufre qui monte aux barricades
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
Si nous postons nos vies sur nos tristes photos
Pour qu’ils aillent faire du blé sur les tristes ghettos
De ces tristes ignorances, apanage de l’Homme
Si l’on se fait violer sur autant qu’on respire
Et si ils se font sauter juste pour en finir
Si c‘est les moyen-âge, au fond des téléphones
Si les champs de coton dans les champs du béton
Des colonisations sont toujours le fanion
Si les pouvoirs n’entendent, ici que la violence
Qu’il soit dit entre nous compagnons et compagnes
Je suis taulard à la ville, taulard à la campagne
Moi je suis taulard dedans, moi je suis taulard dehors
Je serai révolté oui jusqu’après ma mort
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
Tu sais pour ceux d’en haut, pour ceux des capitales
Les télés, les journaux, les apôtres du mal
Des colonisations sont toujours le fanion
Si les pouvoirs n’entendent, ici que la violence
Qu’il soit dit entre nous compagnons et compagnes
Je suis taulard à la ville, taulard à la campagne
Moi je suis taulard dedans, moi je suis taulard dehors
Je serai révolté oui jusqu’après ma mort
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
Tu sais pour ceux d’en haut, pour ceux des capitales
Les télés, les journaux, les apôtres du mal
Sûr qu’on est tous pareil, que des chiens dans la cage
Mais quel que soit leurs cieux qui font courber l’échine
Quel que soit dans nos yeux, les marais des salines
Quel que soit ces pouvoirs, qui font monter la rage
Nos poings se lèveront même si le dos s’incline
Si contre l’océan, il faut construire des digues
Tout seul contre le vent, des ouragans du vide
Jusqu’en dessous la terre, par-delà les étoiles
Dans le fond du cimetière quand j’aurai mis les voiles
Tu seras liberté, oui mon unique guide
Mais quel que soit leurs cieux qui font courber l’échine
Quel que soit dans nos yeux, les marais des salines
Quel que soit ces pouvoirs, qui font monter la rage
Nos poings se lèveront même si le dos s’incline
Si contre l’océan, il faut construire des digues
Tout seul contre le vent, des ouragans du vide
Jusqu’en dessous la terre, par-delà les étoiles
Dans le fond du cimetière quand j’aurai mis les voiles
Tu seras liberté, oui mon unique guide
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
Libre, moi je resterai libre
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