Paroles de la chanson La Vie Est Belle par Josia
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Paroles de la chanson La Vie Est Belle par Josia
Je me laisse porter par le son des vagues,
Je me laisse bercer par les sons dans le ciel.
La vie est belle, je sais que la vie est belle.
Je ne veux jamais oublier que la vie est belle.
Je veux rouler à 90 ouais,
Vitre ouverte, enfoncé sur l’appui-tête.
Comme un fou comme si j’étais infini,
Et comme un fou je vis le moment en vitesse.
Pour le moment j’ai envie de ça
Pour me prouver que j’existe.
Pour oublier que je suis triste parfois,
Tout ce que je veux c’est voir du soleil.
La vie est belle, je sais que la vie est belle
Et je ne veux jamais oublier ça,
Je me laisse bercer par les sons dans le ciel.
La vie est belle, je sais que la vie est belle.
Je ne veux jamais oublier que la vie est belle.
Je veux rouler à 90 ouais,
Vitre ouverte, enfoncé sur l’appui-tête.
Comme un fou comme si j’étais infini,
Et comme un fou je vis le moment en vitesse.
Pour le moment j’ai envie de ça
Pour me prouver que j’existe.
Pour oublier que je suis triste parfois,
Tout ce que je veux c’est voir du soleil.
La vie est belle, je sais que la vie est belle
Et je ne veux jamais oublier ça,
Jamais faire les choses mal.
La nuit est belle mais le jour se lève
Non je ne veux jamais oublier ça
Jamais baisser les bras
Je voudrais quelques saisons de moins,
Vieillir c’est le problème.
Je veux plus attendre les débuts de mois
Pour être une bonne version de moi-même.
Les nuages en filigrane
Derrière le dernier rayon
Percent la pluie et frappent les crânes à chaque saison.
Comme une prison, les mêmes rêves de gosse,
Les mêmes bras cassés, les mêmes brises de vent
Le même air brûlé.
La nuit est belle mais le jour se lève
Non je ne veux jamais oublier ça
Jamais baisser les bras
Je voudrais quelques saisons de moins,
Vieillir c’est le problème.
Je veux plus attendre les débuts de mois
Pour être une bonne version de moi-même.
Les nuages en filigrane
Derrière le dernier rayon
Percent la pluie et frappent les crânes à chaque saison.
Comme une prison, les mêmes rêves de gosse,
Les mêmes bras cassés, les mêmes brises de vent
Le même air brûlé.
Les mêmes pleurs, les mêmes joies,
Les mêmes gens.
Le même air, les mêmes peurs
Le même sang.
Je perds mes cheveux, des tâches sur les dents,
Les poussières du temps enflamment mes poumons
Et je respire mal je fonds.
Sous le ciel de Paris, les étoiles se mélangent dans toute cette lumière
C’est l’hiver, l’été.
C’est l’’hiver.
(Et je ne veux jamais oublier ça)
Je veux m’envoler comme si j’étais libre
Oublier tous mes tracas mes problèmes,
Vivre aujourd’hui comme si c’était fini,
Vivre aujourd’hui aux côtés de ceux que j’aime.
Les mêmes gens.
Le même air, les mêmes peurs
Le même sang.
Je perds mes cheveux, des tâches sur les dents,
Les poussières du temps enflamment mes poumons
Et je respire mal je fonds.
Sous le ciel de Paris, les étoiles se mélangent dans toute cette lumière
C’est l’hiver, l’été.
C’est l’’hiver.
(Et je ne veux jamais oublier ça)
Je veux m’envoler comme si j’étais libre
Oublier tous mes tracas mes problèmes,
Vivre aujourd’hui comme si c’était fini,
Vivre aujourd’hui aux côtés de ceux que j’aime.
(La vie est belle, je sais que la vie est belle)
Du sang bouillant dans mes veines.
Panser les plaies sous ma peau, c’est ça.
Tout ce que je veux c’est voir du soleil.
La vie est belle, je sais que la vie est belle
Et je ne veux jamais oublier ça
Jamais faire les choses mal
La nuit est belle mais le jour se lève
Non je ne veux jamais oublier ça
Jamais baisser les bras.
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