Paroles de la chanson A 17 Ans par Mourir D'aimer, Les Amants Maudits
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Paroles de la chanson A 17 Ans par Mourir D'aimer, Les Amants Maudits
Être un homme ou un enfant,
Raisonnable ou insouciant.
Être martyr ou vainqueur ?
De laisser battre son cœur.
Coupable ou innocent
De n’avoir que 17 ans.
Esclave ou Pharaon
Jouer au caméléon.
La vérité, le mensonge
Quel est ce poids qui me ronge.
Mais quel est l’âge de raison
Pour passer d’ange à démon ?
Oui, mais à 17 ans
N’a-t-on pas le cœur assez grand ?
Raisonnable ou insouciant.
Être martyr ou vainqueur ?
De laisser battre son cœur.
Coupable ou innocent
De n’avoir que 17 ans.
Esclave ou Pharaon
Jouer au caméléon.
La vérité, le mensonge
Quel est ce poids qui me ronge.
Mais quel est l’âge de raison
Pour passer d’ange à démon ?
Oui, mais à 17 ans
N’a-t-on pas le cœur assez grand ?
Ne pas être soi-même
Pas savoir, si l’on aime.
Oui, mais à 17 ans
N’est-il pas déjà temps ?
De faire ses propres choix
Sans être un hors-la-loi.
Rester ici ou ailleurs
Quelle en serait mon erreur ?
Un radeau à la dérive
N’atteint jamais l’autre rive.
Au fond, je saigne et j’ai peur,
D’abandonner mon âme-sœur.
Oui, mais à 17 ans
N’a-t-on pas le cœur assez grand ?
Ne pas être soi-même
Pas savoir, si l’on aime.
Oui, mais à 17 ans
N’est-il pas déjà temps ?
De faire ses propres choix
Sans être un hors-la-loi.
Rester ici ou ailleurs
Quelle en serait mon erreur ?
Un radeau à la dérive
N’atteint jamais l’autre rive.
Au fond, je saigne et j’ai peur,
D’abandonner mon âme-sœur.
Oui, mais à 17 ans
N’a-t-on pas le cœur assez grand ?
Ne pas être soi-même
Pas savoir, si l’on aime.
Oui, mais à 17 ans
N’est-il pas déjà temps ?
De faire ses propres choix
Sans être un hors-la-loi.
Vous, les grands penseurs.
Vous, les beaux parleurs.
N’avez-vous pas connu ?
Bien plus tôt que prévu
Cette force au fond de vous
Qui arrive tout à coup
Et puis sans crier gare
Le rêve devient cauchemar.
Vos théories, vos lois
Oui, mais à 17 ans
N’est-il pas déjà temps ?
De faire ses propres choix
Sans être un hors-la-loi.
Vous, les grands penseurs.
Vous, les beaux parleurs.
N’avez-vous pas connu ?
Bien plus tôt que prévu
Cette force au fond de vous
Qui arrive tout à coup
Et puis sans crier gare
Le rêve devient cauchemar.
Vos théories, vos lois
Vos privilèges de Rois
Vos caprices d’adulte
Vos haines et vos insultes
Ne détourneront rien
D’où se trouve mon chemin
Et moi, parmi les fous
On me met à genoux.
Mais moi, j’ai 17 ans
Et le cœur assez grand.
Je resterai le même,
Car je sais que je l’aime.
Et moi, j’ai 17 ans
Et j’aurai tout le temps,
D’attendre sans problème
Car je sais que je l’aime.
Vos caprices d’adulte
Vos haines et vos insultes
Ne détourneront rien
D’où se trouve mon chemin
Et moi, parmi les fous
On me met à genoux.
Mais moi, j’ai 17 ans
Et le cœur assez grand.
Je resterai le même,
Car je sais que je l’aime.
Et moi, j’ai 17 ans
Et j’aurai tout le temps,
D’attendre sans problème
Car je sais que je l’aime.
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