Paroles de la chanson J'exteriorise par Spore
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Paroles de la chanson J'exteriorise par Spore
Toutes les nuits où l’on dort
Les yeux saturés
Trop de mots dans mes lettres
Tu m’as dit t’es possédée
Le voyant voit plus rien
Il est épuisé
J’ai peur que l’on éteigne
Toutes ces choses essentielles
Qu’on nous avait enfant
Confiées comme un présent
Alors
À l’ombre des voix
J'extériorise
Les maux que je bois
Les yeux saturés
Trop de mots dans mes lettres
Tu m’as dit t’es possédée
Le voyant voit plus rien
Il est épuisé
J’ai peur que l’on éteigne
Toutes ces choses essentielles
Qu’on nous avait enfant
Confiées comme un présent
Alors
À l’ombre des voix
J'extériorise
Les maux que je bois
Ô oui
À force de lire
Des gens qui se broient
Des mondes qui se noient
Des mouvements de foules en peines
Clairement en manque de joie
Des larmes, qui se transforment en cris
Déformants les murmures que l’on envoie
J’ai peur que l’on éteigne
Toutes ces choses essentielles
Qu’on nous avait enfant
Confiées comme un présent
Qui n’a pas cessé de combler
Ce vide
Alors, alors
À force de lire
Des gens qui se broient
Des mondes qui se noient
Des mouvements de foules en peines
Clairement en manque de joie
Des larmes, qui se transforment en cris
Déformants les murmures que l’on envoie
J’ai peur que l’on éteigne
Toutes ces choses essentielles
Qu’on nous avait enfant
Confiées comme un présent
Qui n’a pas cessé de combler
Ce vide
Alors, alors
À l’ombre des voix
J'extériorise
Les maux que je bois
Ô oui
À force de lire
Des gens qui se broient
Des mondes qui se noient
Des mouvements de foules en peine
Clairement en manque de joie
Des larmes, qui se transforment en cris
Déformants les murmures que l’on envoie
Il suffirait de retrouver
L’innocence au fond de nos voix
Toute la joie d’antan qui respirait
Naïvement au fond de toi
J'extériorise
Les maux que je bois
Ô oui
À force de lire
Des gens qui se broient
Des mondes qui se noient
Des mouvements de foules en peine
Clairement en manque de joie
Des larmes, qui se transforment en cris
Déformants les murmures que l’on envoie
Il suffirait de retrouver
L’innocence au fond de nos voix
Toute la joie d’antan qui respirait
Naïvement au fond de toi
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