Paroles de la chanson Templo de Piceas (traduction) par Sebastian Yatra
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Paroles de la chanson Templo de Piceas (traduction) par Sebastian Yatra
[HUMBE]
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur
Et c'est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Un trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance
Puisque le soleil m'avait abandonné et est revenu pour te voir
[HUMBE]
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère
Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille
Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur
Et c'est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Un trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance
Puisque le soleil m'avait abandonné et est revenu pour te voir
[HUMBE]
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère
Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille
Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers
Comme une petite fille défilant sur son podium
[Sebastián Yatra, HUMBE]
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine
Ta silhouette en contre-jour m'appelle, me calme
Des pétales dans la brise, des initiales à la craie
Ton nom dans mon cœur s'ancre, me guérit
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Ah-ah, ah-ah
Na-na-na, ah-ah
Na-na-na, ah-ah
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Des lumières comme des feux dans le ciel, saupoudrant au loin
[Sebastián Yatra, HUMBE]
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine
Ta silhouette en contre-jour m'appelle, me calme
Des pétales dans la brise, des initiales à la craie
Ton nom dans mon cœur s'ancre, me guérit
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Ah-ah, ah-ah
Na-na-na, ah-ah
Na-na-na, ah-ah
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Des lumières comme des feux dans le ciel, saupoudrant au loin
Comme un scandale de janvier, la nostalgie que ça me donne
Sachant que le temps passe
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère
Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille
Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers
Comme une petite fille défilant sur son podium
[HUMBE, Sebastián Yatra]
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine
Ta silhouette en contre-jour m'appelle, me recharge
Sachant que le temps passe
[Sebastián Yatra & HUMBE]
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère
Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille
Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers
Comme une petite fille défilant sur son podium
[HUMBE, Sebastián Yatra]
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine
Ta silhouette en contre-jour m'appelle, me recharge
Des pétales dans la brise, des initiales à la craie
Ton nom dans mon cœur s'ancre, me guérit
[Sebastián Yatra]
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur
Et c'est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Mon trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance
Puisque le soleil, perdu, est revenu, est revenu pour te voir.
Ton nom dans mon cœur s'ancre, me guérit
[Sebastián Yatra]
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur
Et c'est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Mon trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance
Puisque le soleil, perdu, est revenu, est revenu pour te voir.
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