Paroles de la chanson Qui Sont par Lisa Ducasse
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Paroles de Lisa DUCASSE
Musique de Guillaume PONCELET, Lisa DUCASSE
© RISING BIRD MUSIC, BLEND - 2022
Paroles de la chanson Qui Sont par Lisa Ducasse
Le jour où elle lui dit, ils n’en sont rendus
Qu’à la onzième heure d’un jour de fête
Quelque part entre rencontrer et connaître
Ils savent bien comment se ternissent les «d’abord»
Cent petites morts pour un encore
Mais si pour voir ils étaient honnête
Elle lui dirait : je ne sais pas qui sont les hommes,
Mais certains m’ont ouvert leurs mains
Il lui dirait : je ne sais pas qui sont les hommes
Et si j’oublie que j’en suis un
Dis, tu me le pardonnes ?
Qu’à la onzième heure d’un jour de fête
Quelque part entre rencontrer et connaître
Ils savent bien comment se ternissent les «d’abord»
Cent petites morts pour un encore
Mais si pour voir ils étaient honnête
Elle lui dirait : je ne sais pas qui sont les hommes,
Mais certains m’ont ouvert leurs mains
Il lui dirait : je ne sais pas qui sont les hommes
Et si j’oublie que j’en suis un
Dis, tu me le pardonnes ?
Elle pense aux fièvres qu’elle ne saura pas soigner
Lui à celles que soigner serait une erreur
Fières fièvres de chevauchées et de chaleur
Qu’il leur faudra surtout bien se garder d’étouffer
Sans quoi tout finirait par un goût de cendres
Ils sont entre connaître et comprendre
Elle lui dira : je ne sais pas qui sont les hommes,
Mais certains m’ont ouvert leurs mains
Il lui dira : je ne sais pas qui sont les hommes
Et si j’oublie que j’en suis un
Tu me le pardonnes ?
Ils se sont aimés le jour où ils ont vu ensemble le livre, l’œuvre, l’enfant
Lui à celles que soigner serait une erreur
Fières fièvres de chevauchées et de chaleur
Qu’il leur faudra surtout bien se garder d’étouffer
Sans quoi tout finirait par un goût de cendres
Ils sont entre connaître et comprendre
Elle lui dira : je ne sais pas qui sont les hommes,
Mais certains m’ont ouvert leurs mains
Il lui dira : je ne sais pas qui sont les hommes
Et si j’oublie que j’en suis un
Tu me le pardonnes ?
Ils se sont aimés le jour où ils ont vu ensemble le livre, l’œuvre, l’enfant
Lancer des poignées d’écume à la mer, la face donnée au vent
Et courir, la couronne de plumes de travers
Et voler droit pourtant
Et courir, la couronne de plumes de travers
Et voler droit pourtant
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