Paroles de la chanson Revoir Les Cigognes par Les Idiots
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Paroles de la chanson Revoir Les Cigognes par Les Idiots
On a marché un peu, jusqu’à la terrasse
Comme un roseau dans le vent, t’as plié sous ton poids
Regarder l’horizon et puis respirer
Et me dire que gamins, c’est là que t’allait pécher
T’as pleuré, tu vendrais ton âme, pour que ça dure encore
Juste encore un petit peu, faire la nique à mort
Ton fils qui te porte, comme toi tu l’as porté
Les crabes de ton enfance, vont pouvoir de se venger
Même plus long, c’est trop court
Cette chose-là, tu me l’as dit le dernier jour
Sur cette plaine, où maintenant tu dors
Comme un roseau dans le vent, t’as plié sous ton poids
Regarder l’horizon et puis respirer
Et me dire que gamins, c’est là que t’allait pécher
T’as pleuré, tu vendrais ton âme, pour que ça dure encore
Juste encore un petit peu, faire la nique à mort
Ton fils qui te porte, comme toi tu l’as porté
Les crabes de ton enfance, vont pouvoir de se venger
Même plus long, c’est trop court
Cette chose-là, tu me l’as dit le dernier jour
Sur cette plaine, où maintenant tu dors
Les cigognes, volent encore
On a marché dans les dunes, t’as mis les pieds dans l’eau
On a fait courir le chien, tu m’as dit ces quelques mots
Que le temps est précieux, bien plus que les plus beaux joyaux
Que t’avais perdu le tien, bien souvent et bien trop
Et bien trop et puis j’ai pris un train, qui m’emmenait chanter
Tu m’as dit à demain, comme si c’était gagné
Et t’as fermé les yeux, pour te reposer un peu
Oublier tous les maux et enfin aller mieux
On a marché dans les dunes, t’as mis les pieds dans l’eau
On a fait courir le chien, tu m’as dit ces quelques mots
Que le temps est précieux, bien plus que les plus beaux joyaux
Que t’avais perdu le tien, bien souvent et bien trop
Et bien trop et puis j’ai pris un train, qui m’emmenait chanter
Tu m’as dit à demain, comme si c’était gagné
Et t’as fermé les yeux, pour te reposer un peu
Oublier tous les maux et enfin aller mieux
Même plus long, c’est trop court
Cette chose-là, tu me l’as dit le dernier jour
Sur cette plaine, que tu as tant connu
Les cigognes, sont revenues
J’ai écouté ma mère, celle que tu as aimé
Sans poser mes valises, j’ai tourné les talons
Depuis que je te vois partir, je la vois s’abimer
T’as pas choisi de dormir, mais ça va la sauver
Elle a pleuré, il me reste tes mots, qui me résonnent dedans
Essayer chaque jour, de dévorer la vie
De ne rien écourter, comme s’en charge le temps
Et de garder pour toujours, tous nos rêves d’enfant
Cette chose-là, tu me l’as dit le dernier jour
Sur cette plaine, que tu as tant connu
Les cigognes, sont revenues
J’ai écouté ma mère, celle que tu as aimé
Sans poser mes valises, j’ai tourné les talons
Depuis que je te vois partir, je la vois s’abimer
T’as pas choisi de dormir, mais ça va la sauver
Elle a pleuré, il me reste tes mots, qui me résonnent dedans
Essayer chaque jour, de dévorer la vie
De ne rien écourter, comme s’en charge le temps
Et de garder pour toujours, tous nos rêves d’enfant
Même plus long, c’est trop court
Cette chose-là, je me la redis tous les jours
De cette plaine, où tu as tant couru
Les cigognes, ne repartent plus
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