Paroles de la chanson Jeux Zinterdits par Les Idiots
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Paroles de la chanson Jeux Zinterdits par Les Idiots
Et se trouver des yeux, au sortir de la gare
et nos gestes cachés exposés aux regards
et puis chercher ces routes, éblouis de désir
dans la moiteur d’un jour que l’on sait sans avenir
Et se donner du bien dans ces réduits brulants
et puis sentir tes reins me faire bouillir le sang
sentir gonfler nos sexes et les voir s’enbrasser
Echanger les roles et puis recommencer…
Et je veux ton corps encore…autour de moi
et tous ces plaisirs…qui nous brûlent les doigts
et puis toucher tes lévres…sentir tes mains
Jusqu’à la fin…ne regretter rien
et nos gestes cachés exposés aux regards
et puis chercher ces routes, éblouis de désir
dans la moiteur d’un jour que l’on sait sans avenir
Et se donner du bien dans ces réduits brulants
et puis sentir tes reins me faire bouillir le sang
sentir gonfler nos sexes et les voir s’enbrasser
Echanger les roles et puis recommencer…
Et je veux ton corps encore…autour de moi
et tous ces plaisirs…qui nous brûlent les doigts
et puis toucher tes lévres…sentir tes mains
Jusqu’à la fin…ne regretter rien
Et tes bras de déesse qui s’accrochent à mon cou
cette libellule noire qui s’envole avec nous
Et je bois ces cerises, je bois entre tes seins
à cet amour qui me grise comme le meilleur des vins
Et on se sert et on lutte, on se crache au visage
on se console et on pleure, on se promet d’être sage
de cacher ces moments au sommets des châteaux
et tout l’or que dépose ce savon sur ta peau.
Et je veux ton corps encore…autour de moi
et tous ces plaisirs…qui nous brûlent les doigts
et puis toucher tes lévres…sentir tes mains
Jusqu’à la fin…ne regretter rien
Et je vendrais mon âme pour revivre un instant
tous ces jeux interdits faits de charbons ardents
cette libellule noire qui s’envole avec nous
Et je bois ces cerises, je bois entre tes seins
à cet amour qui me grise comme le meilleur des vins
Et on se sert et on lutte, on se crache au visage
on se console et on pleure, on se promet d’être sage
de cacher ces moments au sommets des châteaux
et tout l’or que dépose ce savon sur ta peau.
Et je veux ton corps encore…autour de moi
et tous ces plaisirs…qui nous brûlent les doigts
et puis toucher tes lévres…sentir tes mains
Jusqu’à la fin…ne regretter rien
Et je vendrais mon âme pour revivre un instant
tous ces jeux interdits faits de charbons ardents
Et les yeux pleins de larmes je m’assois un instant
et deteste ces trains qui séparent les amants.
et deteste ces trains qui séparent les amants.
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