Paroles de la chanson Sandales noires par Manset
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Paroles de la chanson Sandales noires par Manset
Devant chez moi était une glycine
Jolie comme un buisson de mauve paraffine
Au-dessus des arceaux formaient une tonnelle
D'où s'échappait parfois un air de mandoline
Disant qu'un être cher aux paupières violines
Allait se faire savoir
Chevelure blonde, chevelure noire
C'était aux alentours des senteurs jasmin
Et des feuilles poivrées en tout instant jetées
À la narine fauve, sauvage, émerveillée
Du vulgaire assassin qui ne sait pas aimer
Et qui reste des heures en cherchant le pourquoi
Du mystérieux carquois
Vide
Qui mène a quoi
Jolie comme un buisson de mauve paraffine
Au-dessus des arceaux formaient une tonnelle
D'où s'échappait parfois un air de mandoline
Disant qu'un être cher aux paupières violines
Allait se faire savoir
Chevelure blonde, chevelure noire
C'était aux alentours des senteurs jasmin
Et des feuilles poivrées en tout instant jetées
À la narine fauve, sauvage, émerveillée
Du vulgaire assassin qui ne sait pas aimer
Et qui reste des heures en cherchant le pourquoi
Du mystérieux carquois
Vide
Qui mène a quoi
Chacun à cet instant se révèle poète
Et dans la solitude sent en son sein monter
Le caprice et la danse pourquoi pas le venin
Que la nature obscène en ses flèches puissantes
Destins à ceux de ses amants qui la chérissent trop
Devant chez moi était un lévrier
Souvent couché au bas d'un poivrier
Quand je tendais la main pour, le flatter
II se dressait du tend des parfums de l'été
Comme si tout a coup quelque divinité
allait se faire savoir
Bouger, se mouvoir
Et venir dans mes bras
Chevelure blonde, chevelure noire
Chevelure blonde, sandales noires
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