Paroles de la chanson Long Island City Here I Come (traduction) par Geese
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Paroles de la chanson Long Island City Here I Come (traduction) par Geese
Personne ne sait où ils vont
Personne ne sait où ils vont
Personne ne sait où ils vont sauf moi
J'ai dit à la pauvre Joan
"Tu as parlé, tu as parlé à tu-sais-qui
Et si tu peux lui parler, tu peux aussi me parler"
Et Jeanne d'Arc, elle a prévenu
"Le Seigneur a beaucoup d'amis, et à la fin
Il oubliera probablement qu'il t'a déjà rencontré"
Oh Charles, parle-moi de la fin
Tu étais là le jour où la musique est morte, et
Je serai là le jour où elle mourra à nouveau
Il a dit, "Un chef-d'œuvre appartient aux morts
Personne ne sait où ils vont
Personne ne sait où ils vont sauf moi
J'ai dit à la pauvre Joan
"Tu as parlé, tu as parlé à tu-sais-qui
Et si tu peux lui parler, tu peux aussi me parler"
Et Jeanne d'Arc, elle a prévenu
"Le Seigneur a beaucoup d'amis, et à la fin
Il oubliera probablement qu'il t'a déjà rencontré"
Oh Charles, parle-moi de la fin
Tu étais là le jour où la musique est morte, et
Je serai là le jour où elle mourra à nouveau
Il a dit, "Un chef-d'œuvre appartient aux morts
Il y a des micros sous ton lit
Et il y a des images qui nous prouveront tous les deux tort"
Ne vois-tu pas ?
Comme Josué a chassé le roi de Jéricho
Je m'apprête à te botter le cul dans cette rue
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà
Ohh, ohh
Ohh, ohh
Ohh, ohh
Et il y a des images qui nous prouveront tous les deux tort"
Ne vois-tu pas ?
Comme Josué a chassé le roi de Jéricho
Je m'apprête à te botter le cul dans cette rue
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà
Ohh, ohh
Ohh, ohh
Ohh, ohh
Me voilà, me voilà, me voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Me voilà, voilà, me voilà, me voilà, voilà, me voilà
Je connaissais un homme
Il était assis derrière un bureau qui faisait un million de pieds de large
Mais il a posé son marteau et il est mort
Je connaissais un homme
Grand et gros, né sans bras ni jambes
Né pour sauter en l'air et applaudir
Il a dit, "Accroche-moi à un yo-yo ou à une corde
Et je serai pendu par le cou de la même manière
Un de ces jours, j'atteindrai aussi Long Island City"
"Ne vois-tu pas ?" a-t-il dit
"Les foules du dimanche sont toutes mes concubines et mes ennemies"
Je connaissais un homme
Il était assis derrière un bureau qui faisait un million de pieds de large
Mais il a posé son marteau et il est mort
Je connaissais un homme
Grand et gros, né sans bras ni jambes
Né pour sauter en l'air et applaudir
Il a dit, "Accroche-moi à un yo-yo ou à une corde
Et je serai pendu par le cou de la même manière
Un de ces jours, j'atteindrai aussi Long Island City"
"Ne vois-tu pas ?" a-t-il dit
"Les foules du dimanche sont toutes mes concubines et mes ennemies"
Mais lui aussi verra Long Island City un jour
Maria m'a crié, "Tu peux partir
Ou tu peux arrêter de jouer de cette cloche à vache avec ton pistolet"
Alors je dis, "Attention, Long Island City, me voilà"
Comme Charlemagne au Vietnam
Jusqu'à ce que je rentre chez moi, je ne suis personne
Long Island City, me voilà
Comme Charlemagne dans le bus de minuit
Je n'ai aucune idée d'où je vais
Me voilà"
Maria m'a crié, "Tu peux partir
Ou tu peux arrêter de jouer de cette cloche à vache avec ton pistolet"
Alors je dis, "Attention, Long Island City, me voilà"
Comme Charlemagne au Vietnam
Jusqu'à ce que je rentre chez moi, je ne suis personne
Long Island City, me voilà
Comme Charlemagne dans le bus de minuit
Je n'ai aucune idée d'où je vais
Me voilà"
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