Paroles de la chanson Le pouvoir de la fiction par La Grande Sophie
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Paroles de la chanson Le pouvoir de la fiction par La Grande Sophie
J'ai fait du corps-à-corps, de la lévitation
Le pouvoir de la fiction, c'est ma conversation
J'ai fait des métaphores, et sans hésitation
Le pouvoir de la fiction, c'est ma consolation
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la nuit me gardera encore, dans ses bras
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
J'étais un acrobate, sirène ou Cupidon
Le pouvoir de la fiction, c'est ma conversation
Je faisais des régates, dans les constellation
Le pouvoir de la fiction, c'est ma conversation
J'ai fait des métaphores, et sans hésitation
Le pouvoir de la fiction, c'est ma consolation
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la nuit me gardera encore, dans ses bras
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
J'étais un acrobate, sirène ou Cupidon
Le pouvoir de la fiction, c'est ma conversation
Je faisais des régates, dans les constellation
Le pouvoir de la fiction, c'est ma consolation
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la nuit me gardera encore, dans ses bras
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
J'étais le pacifique, ou la poule aux œufs dors
Une illusion d'optique, sur les escalators
J'étais une sorcière ou bien caméléon
Le pouvoir de la fiction, c'est ma consolation
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la nuit me gardera encore, dans ses bras
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
J'étais le pacifique, ou la poule aux œufs dors
Une illusion d'optique, sur les escalators
J'étais une sorcière ou bien caméléon
Le pouvoir de la fiction, c'est ma consolation
J'espère que la lune me fera des clins d'œil, dans le noir
J'espère que la brume ma taillera un manteau, un joli costard
J'espère que la nuit me gardera encore, dans ses bras
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
Et rappelle, tous les soirs mon imagination
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