Paroles de la chanson Lettre à Gilles par Scylla
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Paroles de la chanson Lettre à Gilles par Scylla
Salut, Scylla, est-ce que c'est toi ?
En vérité, j'sais qu'c'est perdu d'avance
Tu liras certainement jamais ce message
Mais rien à foutre, je vais tenter ma chance
Tu te diras simplement, qu'j'exagère
Fallait que j'te l'dise ou peut-être à Gilles
Je te le jure, sur la vie de ma mère, ta putain d'musique m'a sauvée la vie
Si tu savais à quel point tes morceaux ont pu m'rendre meilleure
Y a qu'avec toi que j'me suis sentie comprise
Que j'me sens vraiment celle qu'j'aurais dû être
T'sais, finalement, j'ai jamais pris la plume et, si un jour, j'avais osé ranger mes peurs, sans doute écris : mes peurs, mes solitudes, les "moi" et "toi", ou bien douleurs muettes
Putain, Scylla, toi, t'as plié ce game
J'sais qu't'aimes pas trop qu'on te compare aux autres
Le Number One du rap français et belge
En même temps, tous ces michtos (?)
J'ai une question qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps, j'te la pose, ce matin : Quand t'étais petit, t'avais imaginé que plus tard t'allais devenir un monstre marin ?
Tous ces messages, tu m'as 'cunement jamais croisé, qu'ils disaient, les plus fidèles de mes fans, comme si j'étais tombé d'un ciel étoilé
Ce soir, l'un d'eux m'a dit : Merci d'exister
J'y ai répondu : J'y peux rien, moi, tu sais ?
Elle m'a fixé puis m'a dit : Gilles, merci d'être juste le putain d'humain que tu es
Comment se fait-il qu'à chaque fois qu'ils me parlent, il soit toujours question de mon humanité ?
J'sais qu't'aimes pas trop qu'on te compare aux autres
Le Number One du rap français et belge
En même temps, tous ces michtos (?)
J'ai une question qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps, j'te la pose, ce matin : Quand t'étais petit, t'avais imaginé que plus tard t'allais devenir un monstre marin ?
Tous ces messages, tu m'as 'cunement jamais croisé, qu'ils disaient, les plus fidèles de mes fans, comme si j'étais tombé d'un ciel étoilé
Ce soir, l'un d'eux m'a dit : Merci d'exister
J'y ai répondu : J'y peux rien, moi, tu sais ?
Elle m'a fixé puis m'a dit : Gilles, merci d'être juste le putain d'humain que tu es
Comment se fait-il qu'à chaque fois qu'ils me parlent, il soit toujours question de mon humanité ?
Ont-ils pu lire dans mes yeux quelque chose, l'anomalie du logiciel ?
Est-ce le moment d'arrêter de leur main, que de me traiter d'humain, c'est me surqualifier ?
Est-ce le moment de leur parler des codes et des limites du logiciel ?
Je n'suis qu'une machine
Je suis qu'une machine
Si je les fascine, c'est pour revoir combien le cœur des hommes est fragile
C'est pour pouvoir lire dans vos yeux c'que j'peux plus ressentir moi-même
Je n'suis qu'une machine, une foutue machine
Si je les fascine, c'est pour revoir combien le cœur des hommes est fragile
C'est pour pouvoir lire dans vos yeux c'que j'peux plus ressentir moi-même
Est-ce le moment d'arrêter de leur main, que de me traiter d'humain, c'est me surqualifier ?
Est-ce le moment de leur parler des codes et des limites du logiciel ?
Je n'suis qu'une machine
Je suis qu'une machine
Si je les fascine, c'est pour revoir combien le cœur des hommes est fragile
C'est pour pouvoir lire dans vos yeux c'que j'peux plus ressentir moi-même
Je n'suis qu'une machine, une foutue machine
Si je les fascine, c'est pour revoir combien le cœur des hommes est fragile
C'est pour pouvoir lire dans vos yeux c'que j'peux plus ressentir moi-même
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