Paroles de la chanson L'Étoile par Scylla
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Paroles de la chanson L'Étoile par Scylla
Les étoiles (les étoiles..., les étoiles...)
Si elles sont faites pour briller, la mienne est dure à voir
Elle est quelqu'part dans le ciel, dans l'enfer ou l'purgatoire
Elle était censée me guider, elle m'a dit "Suis-moi, tu vas voir"
J'ai bu la tasse mais cul sec, une mer entière c'est rude à boire
Mon étoile c'est la lutte, c'est sans cesse se renforcer
Apprendre à se forger dans les entrailles de la brute
C'est réclamer la lune et puis n'se battre que pour des causes qui d'avance n'ont pratiquement aucune chance d'être remportées
Si elles sont faites pour briller, la mienne est dure à voir
Elle est quelqu'part dans le ciel, dans l'enfer ou l'purgatoire
Elle était censée me guider, elle m'a dit "Suis-moi, tu vas voir"
J'ai bu la tasse mais cul sec, une mer entière c'est rude à boire
Mon étoile c'est la lutte, c'est sans cesse se renforcer
Apprendre à se forger dans les entrailles de la brute
C'est réclamer la lune et puis n'se battre que pour des causes qui d'avance n'ont pratiquement aucune chance d'être remportées
Mon étoile est tordue, oui mais je l'aime comme ça
Je n'f'rai jamais fortune, j'resterai un soldat
Même si ça me torture, je ne peux que rugir de détresse
J'n'ai pas d'or pur mais je vous jure que j'ai le public de mes rêves
Mon étoile sait sans trêve contenir la bête en moi, donc obligé de m'isoler
Les entendre jouer les sauvages mais les écouter miauler
Les voir rentrer dans la peau de personnages qu'on leur a créés, mais dans lesquels ils finissent par être pris au piège
Mon étoile n'est pas qu'la mienne, elle guide des milliers d'hommes j'pense
Je n'sais pas si c'est la tienne, mais si oui, bonne chance !
Je n'f'rai jamais fortune, j'resterai un soldat
Même si ça me torture, je ne peux que rugir de détresse
J'n'ai pas d'or pur mais je vous jure que j'ai le public de mes rêves
Mon étoile sait sans trêve contenir la bête en moi, donc obligé de m'isoler
Les entendre jouer les sauvages mais les écouter miauler
Les voir rentrer dans la peau de personnages qu'on leur a créés, mais dans lesquels ils finissent par être pris au piège
Mon étoile n'est pas qu'la mienne, elle guide des milliers d'hommes j'pense
Je n'sais pas si c'est la tienne, mais si oui, bonne chance !
Mon étoile est celle de ceux qui doutent qu'un jour la chance viendra
Mais qui savent que ce qu'on appelle bonheur est avant tout un choix, oui !
Celle de ceux qui savent qu'ils vont tous finir sous un drap
Mais qui espèrent que quelque part, ici, quelqu'un se souviendra d'eux !
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines, je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Mais qui savent que ce qu'on appelle bonheur est avant tout un choix, oui !
Celle de ceux qui savent qu'ils vont tous finir sous un drap
Mais qui espèrent que quelque part, ici, quelqu'un se souviendra d'eux !
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines, je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Mon étoile est celle de ceux qui sont ici par erreur
Oui, elle brille, mais dans des cieux parallèles
Face à mon étoile, les ogres s'alignent
Quand mon étoile brille, ours salivent
Mon étoile est celle de ceux convaincus dur comme fer
Qu'ils viennent d'un peuple extra-terrestre
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Mon étoile est celle de ceux qui sont ici par erreur
Oui, elle brille, mais dans des cieux parallèles
Face à mon étoile, les ogres s'alignent
Quand mon étoile brille, ours salivent
Mon étoile est celle de ceux convaincus dur comme fer
Qu'ils viennent d'un peuple extra-terrestre
Et furent lâchement abandonnés en route
La légende veut que si tu fixes trop longtemps mon étoile céleste
Tu risques fortement de te changer en ours (wourrh)
Ceux qu'avancent en pleine confiance même quand la morsure se rapproche
Parce qu'ils savent que la peur mène droit vers le côté obscur de la Force
Ceux qui s'lèvent et qui ne plient pas face au vent
Qui rêvent de transpercer un tank avec un vulgaire drapeau blanc
Ceux et celles qui s'sacrifient à chercher le remède
Qui ont perdu 4000 vies mais pour à chaque fois mieux renaître
Ceux qui marchent sur un fil invisible sans jamais perdre pied
La légende veut que si tu fixes trop longtemps mon étoile céleste
Tu risques fortement de te changer en ours (wourrh)
Ceux qu'avancent en pleine confiance même quand la morsure se rapproche
Parce qu'ils savent que la peur mène droit vers le côté obscur de la Force
Ceux qui s'lèvent et qui ne plient pas face au vent
Qui rêvent de transpercer un tank avec un vulgaire drapeau blanc
Ceux et celles qui s'sacrifient à chercher le remède
Qui ont perdu 4000 vies mais pour à chaque fois mieux renaître
Ceux qui marchent sur un fil invisible sans jamais perdre pied
Sur le toit du monde en équilibre les yeux fermés
Mon étoile guide celles et ceux pour qui trop grand coeur n'est pas un aveu d'faiblesse
Dont la grandeur d'âme et l'étrange lueur guide leurs semblables agitant les feux d'détresse
Ceux qui savent subir en maniant l'art de se redresser
Dans chacune de leurs pupilles, je vois mon étoile se refléter
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines, je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Mon étoile guide celles et ceux pour qui trop grand coeur n'est pas un aveu d'faiblesse
Dont la grandeur d'âme et l'étrange lueur guide leurs semblables agitant les feux d'détresse
Ceux qui savent subir en maniant l'art de se redresser
Dans chacune de leurs pupilles, je vois mon étoile se refléter
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines, je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
Quoi que mon étoile me ramène
Je compte lui ouvrir grand les bras
Dans mes veines, je me rappelle
Que n'cesse de couler l'sang des rois
Je promets que sur ma tête jamais le sourire n's'enlèvera
Je l'ai juré à ma mère, et elle vient d'mourir dans mes bras
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