Paroles de la chanson The Tide (Traduction) par Barry Moore
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Paroles de la chanson The Tide (Traduction) par Barry Moore
Pourpre, la marée ramène les morts
Ton chant du cygne est tombé à plat, tu n’en as jamais rien su
Alors, quel est le prochain arrêt sur cette route ?
On fait le contraire de ce qu’on nous dit
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Tu as dit que tu voulais juste être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Prisonnière d’une guerre, prisonnière d’un rêve
Tu luttes contre le courant avec tout
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Ton chant du cygne est tombé à plat, tu n’en as jamais rien su
Alors, quel est le prochain arrêt sur cette route ?
On fait le contraire de ce qu’on nous dit
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Tu as dit que tu voulais juste être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Prisonnière d’une guerre, prisonnière d’un rêve
Tu luttes contre le courant avec tout
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Mais on n’a jamais pris un second souffle
Il faut savoir quand c’est le moment de partir
Et savoir aussi quand ça ne l’est pas encore
Piège à clics, les souris sortent danser
Un chemin vers la fosse, les traîtres vont rester
Si c’est pour moi, alors, tu viens aussi ?
Faut-il que je parte qui je suis là pour toi ?
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, qui n’existent pas
Prisonnière d’une guerre, prisonnière d’un rêve
Tu luttes contre le courant avec tout
Il faut savoir quand c’est le moment de partir
Et savoir aussi quand ça ne l’est pas encore
Piège à clics, les souris sortent danser
Un chemin vers la fosse, les traîtres vont rester
Si c’est pour moi, alors, tu viens aussi ?
Faut-il que je parte qui je suis là pour toi ?
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, je vois
Tu as dit que tu voulais être comme moi
Tu te comptes parmi les personnes qui n’existent pas, qui n’existent pas
Prisonnière d’une guerre, prisonnière d’un rêve
Tu luttes contre le courant avec tout
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Mais on n’a jamais pris un second souffle
Il faut savoir quand c’est le moment de partir
Et savoir aussi quand ça ne l’est pas encore
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Maintenant, on manque d’air et d’endroits où aller
Tu sens l’eau s’infiltrer dans tes os
Tu prends un second soufflé et fais face à l’inconnu
Et tout est désormais en noir et blanc
Avec toi et ton bon sens, qui vous préparez pour le combat
Tu ne déconstruis que pour commencer à nouveau
Tu découvres les blessures autrefois cachées sous la peau
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Mais on n’a jamais pris un second souffle
Il faut savoir quand c’est le moment de partir
Et savoir aussi quand ça ne l’est pas encore
Tu découvres les blessures autrefois cachées sous la peau
Je n’ai jamais pensé qu’on descendrait si bas
Mais on n’a jamais pris un second souffle
Il faut savoir quand c’est le moment de partir
Et savoir aussi quand ça ne l’est pas encore
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